Divo – La star internationale de la world music, David Edson Tayoraut, a été classé au patrimoine de la région du Lôh-Djiboua, samedi au cours d’une cérémonie de bénédictions traditionnelles, organisée à la faveur de la célébration de ses trente années de carrière.
Les uns après les autres, le représentant du président du conseil régional, Léon Lewis Gnekpa et le premier adjoint au maire, Dago Basile, ont exhorté « le fils prodigue » et « fierté de la région » à « revenir à la maison pour prendre toute ta place ».
Le chanteur, compositeur, interprète, arrangeur, producteur et détecteur de talents de calibre international a accepté « avec joie » la mission de porte étendard de la région en matière de Show-business. L’artiste a toutefois précisé qu’il n’a jamais abandonné les siens, ses absences étant le fait de son calendrier international « très chargé ».
Les chefs traditionnels ont imploré les mânes, afin que la riche carrière de l’artiste connaisse des jours encore meilleurs pour le bonheur des Ivoiriens, les ressortissants du Lôh-Djiboua en premier.
Etreint par l’émotion David Tayoraut est revenu sur les souvenirs qu’éveille en lui la ville de Divo notamment l’histoire de son recrutement dans le mythique groupe ‘’ Woya’’ et le difficile choix, pour le « brillant élève de 5e » qu’il était, d’abandonner les bancs de l’école pour la musique.
Adepte de rythmes dansants de la fanfare et de belles mélodies comme le zouk, David Tayorault excelle également dans le jazz, le blues, le gospel et la soul. Sa musique est un savant mélange de toutes ces sonorités, lui-même ne voulant s’enfermer dans aucune spécialité pouvant « étouffer » son inspiration.
Plusieurs artistes Ivoiriens doivent leur succès à son talent d’arrangeur. Il s’agit notamment des Magic system pour le tube planétaire premier gaou, des poussins chocs, Aboutou roots et Douk Saga. La star mondiale Sénégalaise Youssou Ndour a même fait réarranger ses grands succès par « le digne fils de Divo », David Edson Tayorault.
Après l’hommage de ses ‘’ parents ‘’ pour son riche parcours, celui que l’on surnomme "Totorino le Samouraï", aura droit à un autre hommage à Abidjan, samedi lors d'un grand concert, au cours duquel l'artiste revisitera ses tubes les plus prisés tant avec les "Woya" qu'en carrière solo.
gso/ask
Les uns après les autres, le représentant du président du conseil régional, Léon Lewis Gnekpa et le premier adjoint au maire, Dago Basile, ont exhorté « le fils prodigue » et « fierté de la région » à « revenir à la maison pour prendre toute ta place ».
Le chanteur, compositeur, interprète, arrangeur, producteur et détecteur de talents de calibre international a accepté « avec joie » la mission de porte étendard de la région en matière de Show-business. L’artiste a toutefois précisé qu’il n’a jamais abandonné les siens, ses absences étant le fait de son calendrier international « très chargé ».
Les chefs traditionnels ont imploré les mânes, afin que la riche carrière de l’artiste connaisse des jours encore meilleurs pour le bonheur des Ivoiriens, les ressortissants du Lôh-Djiboua en premier.
Etreint par l’émotion David Tayoraut est revenu sur les souvenirs qu’éveille en lui la ville de Divo notamment l’histoire de son recrutement dans le mythique groupe ‘’ Woya’’ et le difficile choix, pour le « brillant élève de 5e » qu’il était, d’abandonner les bancs de l’école pour la musique.
Adepte de rythmes dansants de la fanfare et de belles mélodies comme le zouk, David Tayorault excelle également dans le jazz, le blues, le gospel et la soul. Sa musique est un savant mélange de toutes ces sonorités, lui-même ne voulant s’enfermer dans aucune spécialité pouvant « étouffer » son inspiration.
Plusieurs artistes Ivoiriens doivent leur succès à son talent d’arrangeur. Il s’agit notamment des Magic system pour le tube planétaire premier gaou, des poussins chocs, Aboutou roots et Douk Saga. La star mondiale Sénégalaise Youssou Ndour a même fait réarranger ses grands succès par « le digne fils de Divo », David Edson Tayorault.
Après l’hommage de ses ‘’ parents ‘’ pour son riche parcours, celui que l’on surnomme "Totorino le Samouraï", aura droit à un autre hommage à Abidjan, samedi lors d'un grand concert, au cours duquel l'artiste revisitera ses tubes les plus prisés tant avec les "Woya" qu'en carrière solo.
gso/ask