Le Directeur des Opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, Pierre Laporte a animé une conférence de presse jeudi à Abidjan pour dresser le bilan d’une année d’activités à la tête de la Banque mondiale à Abidjan et évoqué les perspectives au niveau de la collaboration entre l’institution et l’Etat de Côte d’Ivoire.
Il ressort du bilan de Pierre Laporte qu’en une année beaucoup de projets ont été réalisés et plusieurs sont dans le pipeline et feront l’objet de convention dès 2017. Au plan macro-économique le Directeur de la Banque mondiale a relevé les belles performances de la Côte d’Ivoire. Il en veut pour preuve la signature il y a quelques jours d’un nouveau programme triennal 2017-2019 entre le Fonds monétaire international (FMI) et l’Etat de Côte d’Ivoire. « C’est un signal que le Fonds est satisfait du cadre macroéconomique », a affirmé Pierre Laporte. Ce sont plusieurs milliards de F CFA que la Banque mondiale a investi dans différents secteurs en Côte d’Ivoire depuis les douze derniers mois.
Concernant les perspectives, le Directeur des Opérations de la Banque mondiale a annoncé la poursuite des appuis de l’institution qu’il dirige à la Côte d’Ivoire. Ce sont plusieurs secteurs qui sont concernés par ces appuis futurs. Il s’agit notamment des secteurs du Transport, de l’énergie et des TICS. Pour ces différents secteurs, Pierre Laporte a exhorté le Gouvernement ivoirien à poursuivre les réformes entamées. Il a annoncé 75 millions de dollars d’appui budgétaire de la Banque mondiale à la Côte d’Ivoire. « Nous ne nous contentons pas seulement de l’argent pour les appuis budgétaires, mais il faut définir le cadre réglementaire et institutionnel afin d’accompagner ces investissements », a indiqué le patron de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire.
Pierre Laporte a ajouté que « le secteur énergétique est une priorité pour la Banque mondiale, car sans énergie, il n’y a pas de transformation industrielle du cacao ». Il a en outre indiqué que « l’entrée du privé dans le secteur de l’électricité dans le cadre du partenariat public- privé est une très bonne chose parce que ni le gouvernement ni la Banque mondiale n’ont les moyens de financer le secteur ». Toutefois a-t-il tenu à préciser que la Banque mondiale ne fait qu’accompagner la Côte d’Ivoire en lui donnant des conseils et en lui apportant une assistance technique en fonction de ses priorités.
Elisée B
Il ressort du bilan de Pierre Laporte qu’en une année beaucoup de projets ont été réalisés et plusieurs sont dans le pipeline et feront l’objet de convention dès 2017. Au plan macro-économique le Directeur de la Banque mondiale a relevé les belles performances de la Côte d’Ivoire. Il en veut pour preuve la signature il y a quelques jours d’un nouveau programme triennal 2017-2019 entre le Fonds monétaire international (FMI) et l’Etat de Côte d’Ivoire. « C’est un signal que le Fonds est satisfait du cadre macroéconomique », a affirmé Pierre Laporte. Ce sont plusieurs milliards de F CFA que la Banque mondiale a investi dans différents secteurs en Côte d’Ivoire depuis les douze derniers mois.
Concernant les perspectives, le Directeur des Opérations de la Banque mondiale a annoncé la poursuite des appuis de l’institution qu’il dirige à la Côte d’Ivoire. Ce sont plusieurs secteurs qui sont concernés par ces appuis futurs. Il s’agit notamment des secteurs du Transport, de l’énergie et des TICS. Pour ces différents secteurs, Pierre Laporte a exhorté le Gouvernement ivoirien à poursuivre les réformes entamées. Il a annoncé 75 millions de dollars d’appui budgétaire de la Banque mondiale à la Côte d’Ivoire. « Nous ne nous contentons pas seulement de l’argent pour les appuis budgétaires, mais il faut définir le cadre réglementaire et institutionnel afin d’accompagner ces investissements », a indiqué le patron de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire.
Pierre Laporte a ajouté que « le secteur énergétique est une priorité pour la Banque mondiale, car sans énergie, il n’y a pas de transformation industrielle du cacao ». Il a en outre indiqué que « l’entrée du privé dans le secteur de l’électricité dans le cadre du partenariat public- privé est une très bonne chose parce que ni le gouvernement ni la Banque mondiale n’ont les moyens de financer le secteur ». Toutefois a-t-il tenu à préciser que la Banque mondiale ne fait qu’accompagner la Côte d’Ivoire en lui donnant des conseils et en lui apportant une assistance technique en fonction de ses priorités.
Elisée B