San Pedro – Une spécialiste de l’Institut national d’hygiène publique (INHP) a formé vendredi, dans le cadre du projet ‘’Rage GAVI’’, des médecins et infirmiers du district sanitaire de San Pedro sur la rage, notamment la prise en charge des personnes mordues, griffées ou léchées par des animaux à risque.
La formatrice, Dr Tétchi Sopie Matilde, Chef de service du Centre antirabique de l’INHP d’Abidjan-Treichville et Superviseur médical du projet ‘’Rage GAVI’’, a approfondi la connaissance des impétrants sur la rage, sa surveillance et sa prise en charge médicale.
Il a été expliqué aux agents de santé comment posé le diagnostic, le nouveau protocole de prise en charge des personnes mordues ou ayant eu un contact à risque. Le vaccin désormais se fait en trois doses et plus en cinq comme par le passé.
« C’est vrai que la rage est une maladie mortelle à 100% à partie du moment où les premiers signes apparaissent, mais le vaccin contre la rage est aussi efficace à 100% contre la survenue de cette maladie quand il est fait dans un délai raisonnable», a précisé Dr Tétchi.
Selon l’INHP, dans la ville de San Pedro 374 personnes en moyenne sont exposées à la rage chaque année, dont un cas de décès. En Côte d’Ivoire ce sont en moyenne 10 000 personnes qui sont exposées chaque année. Pour l’année en cours près de 8500 personnes ont été exposées à la rage, dont près de 4500 enfants, soit plus de 52% des personnes exposées.
Financé par la fondation GAVI (Global alliance for vaccines and immunization) et exécuté par le Centre suisse de recherche scientifique (CSRS), l’INHP et d’autres partenaires nationaux et internationaux, le projet d’évaluation du poids de la rage en Côte d’Ivoire a été lancé en avril dans deux régions de la Côte d’Ivoire, à savoir Bouaké et San Pedro. Il prend fin en 2017.
jmk/ask
La formatrice, Dr Tétchi Sopie Matilde, Chef de service du Centre antirabique de l’INHP d’Abidjan-Treichville et Superviseur médical du projet ‘’Rage GAVI’’, a approfondi la connaissance des impétrants sur la rage, sa surveillance et sa prise en charge médicale.
Il a été expliqué aux agents de santé comment posé le diagnostic, le nouveau protocole de prise en charge des personnes mordues ou ayant eu un contact à risque. Le vaccin désormais se fait en trois doses et plus en cinq comme par le passé.
« C’est vrai que la rage est une maladie mortelle à 100% à partie du moment où les premiers signes apparaissent, mais le vaccin contre la rage est aussi efficace à 100% contre la survenue de cette maladie quand il est fait dans un délai raisonnable», a précisé Dr Tétchi.
Selon l’INHP, dans la ville de San Pedro 374 personnes en moyenne sont exposées à la rage chaque année, dont un cas de décès. En Côte d’Ivoire ce sont en moyenne 10 000 personnes qui sont exposées chaque année. Pour l’année en cours près de 8500 personnes ont été exposées à la rage, dont près de 4500 enfants, soit plus de 52% des personnes exposées.
Financé par la fondation GAVI (Global alliance for vaccines and immunization) et exécuté par le Centre suisse de recherche scientifique (CSRS), l’INHP et d’autres partenaires nationaux et internationaux, le projet d’évaluation du poids de la rage en Côte d’Ivoire a été lancé en avril dans deux régions de la Côte d’Ivoire, à savoir Bouaké et San Pedro. Il prend fin en 2017.
jmk/ask