La Présidente de la Commission nationale des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), Mme Namizata Sangaré a présidé le vendredi 21 octobre, au Musée des Arts et civilisation de Cocody, la cérémonie de vernissage, la COPE 2016 (Cocody Peace Expo), une exposition d’œuvres d’arts avec pour thème : « Droits de l’homme, liberté d’expression, liberté artistique », organisée par l’ONG ACIS (Action pour la culture, l’intégration et la sensibilisation –diversité culturelle).
La CNDHCI a accepté d’apporter sa caution à cette idée de ’’ Cocody Peace Expo’’, car c’est un évènement qui prône la culture de la paix fondée sur des valeurs, attitudes et moyens de vie propice à la promotion de la paix entre les individus, les groupes et la société.
Félicitant l’ONG ACIS pour l’intérêt porté en la CNDHCI, la Présidente Namizata Sangaré n’a pas omis également de remercier la Commission nationale de l’UNESCO et la Mairie de Cocody pour leur appui à ce projet novateur.
Le sens qu’elle donne à ce vernissage qui associe Droits de l’homme, libertés, création artistique et culture s’explique par le fait que la culture fait partie intégrante des Droits de l’homme, notamment les droits économiques, sociaux et culturels. Selon la Présidente de la CNDHCI, l’éducation, l’art et la culture sont des éléments centraux pour bâtir un pays de paix et de justice sociale. La Côte d’Ivoire et le monde en ont besoin.
« Vous le savez tous, au mois de mars 2016, notre pays a connu l’extrémisme violent avec l’attentat de Grand-Bassam. Donner aux membres des ONG une formation artistique et, plus particulièrement une formation en Droits de l’homme, faire une exposition sur les valeurs de paix et de non-violence, c’est construire pour les populations une identité culturelle commune et partagée » a déclaré Namizata Sangaré, Présidente de la CNDHCI.
Elle s’est par ailleurs appesantie sur l’importance de la liberté d’expression et de création artistique dans le développement des droits de l’homme et de la formation intellectuelle et émotionnelle des populations.
Quant au Président de l’ONG ACIS, M. Roland Miahoré, se réjouissant du fait que cette première édition de la COPE ait bénéficié de l’accompagnement de la CNDHCI, il a souligné que c’est une manière d’inculquer une notion de paix à la société parce que les artistes contribuent à la paix. Et, qui parle de paix, parle des Droits de l’homme
DA
La CNDHCI a accepté d’apporter sa caution à cette idée de ’’ Cocody Peace Expo’’, car c’est un évènement qui prône la culture de la paix fondée sur des valeurs, attitudes et moyens de vie propice à la promotion de la paix entre les individus, les groupes et la société.
Félicitant l’ONG ACIS pour l’intérêt porté en la CNDHCI, la Présidente Namizata Sangaré n’a pas omis également de remercier la Commission nationale de l’UNESCO et la Mairie de Cocody pour leur appui à ce projet novateur.
Le sens qu’elle donne à ce vernissage qui associe Droits de l’homme, libertés, création artistique et culture s’explique par le fait que la culture fait partie intégrante des Droits de l’homme, notamment les droits économiques, sociaux et culturels. Selon la Présidente de la CNDHCI, l’éducation, l’art et la culture sont des éléments centraux pour bâtir un pays de paix et de justice sociale. La Côte d’Ivoire et le monde en ont besoin.
« Vous le savez tous, au mois de mars 2016, notre pays a connu l’extrémisme violent avec l’attentat de Grand-Bassam. Donner aux membres des ONG une formation artistique et, plus particulièrement une formation en Droits de l’homme, faire une exposition sur les valeurs de paix et de non-violence, c’est construire pour les populations une identité culturelle commune et partagée » a déclaré Namizata Sangaré, Présidente de la CNDHCI.
Elle s’est par ailleurs appesantie sur l’importance de la liberté d’expression et de création artistique dans le développement des droits de l’homme et de la formation intellectuelle et émotionnelle des populations.
Quant au Président de l’ONG ACIS, M. Roland Miahoré, se réjouissant du fait que cette première édition de la COPE ait bénéficié de l’accompagnement de la CNDHCI, il a souligné que c’est une manière d’inculquer une notion de paix à la société parce que les artistes contribuent à la paix. Et, qui parle de paix, parle des Droits de l’homme
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