La 28ème réunion de partenariat de la Fondation Mondiale du Cacao (World Cocoa Foundation : WCF) en partenariat avec Le Conseil du Café-Cacao s’est tenue du 26 au 27 octobre 2016 au Radisson Blu Hôtel sis à Abidjan Port-Bouët, afin d’explorer de nouvelles orientations pour les efforts de la durabilité.
Ce sont près de 500 représentants au niveau mondial du secteur du chocolat et du cacao, y compris les producteurs, qui se sont réunis en Côte d’Ivoire, leader mondial du cacao, pour aborder les questions essentielles de durabilité auxquelles est confrontés la culture du cacao, qui est la principale source de revenus pour des millions de personnes en Afrique de l’Ouest et dans une grande partie de l’Amérique latine et de l’Asie du Sud-Est.
Selon le Président de la WCF, Monsieur Richard SCOBEY, la rencontre d’Abidjan a pour but de répondre à la fois aux défis persistants et aux préoccupations émergentes pour le secteur du cacao.
″Nous approfondissons notre attention sur les éléments clés de l’agenda du développement durable. Veiller à ce que la cacaoculture constitue un moyen de subsistance durable pour les agriculteurs, en offrant aux jeunes des occasions significatives dans le secteur du cacao et l’autonomisation des femmes qui y travaillent ont longtemps été des priorités pour la WCF″, a-t-il mentionné.
Dans son discours d’ouverture, le Premier Ministre Ivoirien, SEM Daniel Kablan DUNCAN, a présenté une série de mesures que la Côte d’Ivoire prend pour encourager le développement de son industrie cacaoyère, y compris un plan ambitieux pour traiter localement 50% de la récolte locale du cacao d’ici à 2020 et soutenir la production du chocolat sur le plan national.
Quant à Madame Massandjé TOURE-LITSE, Directeur Général du Conseil du Café-Cacao, elle s’est particulièrement réjouie que la 28ème réunion de partenariat de la WCF se tienne en Côte d’Ivoire, Terre du Cacao. Elle a relevé avec beaucoup d’intérêt les attentes de son pays relativement aux réponses des problématiques suivantes : la cacaoculture face au changement climatique et la déforestation, l’autonomisation des femmes pour contribuer à la durabilité du secteur, la promotion d’une nouvelle génération de producteurs pour assurer la relève des pionniers, l’amélioration du revenu tiré de la production de cacao et l’amélioration des conditions de vie et de travail des producteurs et de leurs communautés.
Le deuxième jour, l’édition 2016 de la rencontre annuelle entre la WCF et ses partenaires a vu la présence remarquée parmi les producteurs et les industriels du cacao de Madame Dominique OUATTARA, Première Dame de Côte d’Ivoire.
En véritable battante de la lutte contre les pires formes de travail des enfants, la Première Dame a exposé les actions menées pour l’élimination de l’exploitation et la traite des enfants notamment par la sensibilisation des producteurs, l’adaptation des lois pour renforcer le cadre juridique, l’organisation de séminaires de formation pour les différents acteurs de la chaîne et la signature d’accords bilatéraux avec plusieurs pays voisins pour prévenir la traite transfrontalière.
En outre, elle a salué la mise en place de la stratégie CocoaAction qui vise à lutter contre les pires formes de travail des enfants par la réalisation d’infrastructures sociales de base.
Notons que c’est par une visite de plantations et d’infrastructures sociales à Yakassé-Attobrou dans le département d’Adzopé, ce vendredi 28 octobre 2016, que s’achèvera la 28ème réunion de partenariat de la WCF et ses partenaires. Sans oublier le diner de gala offert par le pays hôte à tous les participants, le mercredi 26 octobre 2016 à Heden Golf Hôtel sis Abidjan-Cocody.
Ce sont près de 500 représentants au niveau mondial du secteur du chocolat et du cacao, y compris les producteurs, qui se sont réunis en Côte d’Ivoire, leader mondial du cacao, pour aborder les questions essentielles de durabilité auxquelles est confrontés la culture du cacao, qui est la principale source de revenus pour des millions de personnes en Afrique de l’Ouest et dans une grande partie de l’Amérique latine et de l’Asie du Sud-Est.
Selon le Président de la WCF, Monsieur Richard SCOBEY, la rencontre d’Abidjan a pour but de répondre à la fois aux défis persistants et aux préoccupations émergentes pour le secteur du cacao.
″Nous approfondissons notre attention sur les éléments clés de l’agenda du développement durable. Veiller à ce que la cacaoculture constitue un moyen de subsistance durable pour les agriculteurs, en offrant aux jeunes des occasions significatives dans le secteur du cacao et l’autonomisation des femmes qui y travaillent ont longtemps été des priorités pour la WCF″, a-t-il mentionné.
Dans son discours d’ouverture, le Premier Ministre Ivoirien, SEM Daniel Kablan DUNCAN, a présenté une série de mesures que la Côte d’Ivoire prend pour encourager le développement de son industrie cacaoyère, y compris un plan ambitieux pour traiter localement 50% de la récolte locale du cacao d’ici à 2020 et soutenir la production du chocolat sur le plan national.
Quant à Madame Massandjé TOURE-LITSE, Directeur Général du Conseil du Café-Cacao, elle s’est particulièrement réjouie que la 28ème réunion de partenariat de la WCF se tienne en Côte d’Ivoire, Terre du Cacao. Elle a relevé avec beaucoup d’intérêt les attentes de son pays relativement aux réponses des problématiques suivantes : la cacaoculture face au changement climatique et la déforestation, l’autonomisation des femmes pour contribuer à la durabilité du secteur, la promotion d’une nouvelle génération de producteurs pour assurer la relève des pionniers, l’amélioration du revenu tiré de la production de cacao et l’amélioration des conditions de vie et de travail des producteurs et de leurs communautés.
Le deuxième jour, l’édition 2016 de la rencontre annuelle entre la WCF et ses partenaires a vu la présence remarquée parmi les producteurs et les industriels du cacao de Madame Dominique OUATTARA, Première Dame de Côte d’Ivoire.
En véritable battante de la lutte contre les pires formes de travail des enfants, la Première Dame a exposé les actions menées pour l’élimination de l’exploitation et la traite des enfants notamment par la sensibilisation des producteurs, l’adaptation des lois pour renforcer le cadre juridique, l’organisation de séminaires de formation pour les différents acteurs de la chaîne et la signature d’accords bilatéraux avec plusieurs pays voisins pour prévenir la traite transfrontalière.
En outre, elle a salué la mise en place de la stratégie CocoaAction qui vise à lutter contre les pires formes de travail des enfants par la réalisation d’infrastructures sociales de base.
Notons que c’est par une visite de plantations et d’infrastructures sociales à Yakassé-Attobrou dans le département d’Adzopé, ce vendredi 28 octobre 2016, que s’achèvera la 28ème réunion de partenariat de la WCF et ses partenaires. Sans oublier le diner de gala offert par le pays hôte à tous les participants, le mercredi 26 octobre 2016 à Heden Golf Hôtel sis Abidjan-Cocody.