L’éveil des consciences s’avère primordial pour une lutte efficace contre les faux médicaments, estime la ministre ivoirienne de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie.
Pour la première responsable du système de Santé, la politique du gouvernement contre ce phénomène consistera ainsi dans un premier temps à sensibiliser les femmes qui vendent ce type de médicaments avant le passage à la phase répressive.
« L’éveil des consciences face à cette menace grandissante est une étape essentielle à la mise en place d’une lutte efficace », avait notamment fait remarquer, Mme Goudou Coffie, à l’ouverture d’une conférence sur les faux médicaments et les médicaments de la rue en Côte d’Ivoire et en Afrique de l’Ouest, à Abidjan.
Relevant le cas spécifique des vendeuses du marché d’Adjamé-Roxy, elle a insisté sur la nécessité d’œuvrer d’emblée à leur reconversion plutôt que de les déguerpir systématiquement, la finalité étant qu’elles tournent complètement le dos à ce type de commerce après avoir été convaincues que l’activité engendre de graves problèmes sur la Santé de leurs concitoyens.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, 15% des médicaments en circulation dans le monde seraient des faux, de 30 à 70 % selon les pays d’Afrique, et près de 60 % de ceux vendus sur Internet.
La conférence d’Abidjan tenue en octobre s’était déroulée autour du thème « Pour une action conjointe contre les faux médicaments ».
tg/kg/akn/ask
Pour la première responsable du système de Santé, la politique du gouvernement contre ce phénomène consistera ainsi dans un premier temps à sensibiliser les femmes qui vendent ce type de médicaments avant le passage à la phase répressive.
« L’éveil des consciences face à cette menace grandissante est une étape essentielle à la mise en place d’une lutte efficace », avait notamment fait remarquer, Mme Goudou Coffie, à l’ouverture d’une conférence sur les faux médicaments et les médicaments de la rue en Côte d’Ivoire et en Afrique de l’Ouest, à Abidjan.
Relevant le cas spécifique des vendeuses du marché d’Adjamé-Roxy, elle a insisté sur la nécessité d’œuvrer d’emblée à leur reconversion plutôt que de les déguerpir systématiquement, la finalité étant qu’elles tournent complètement le dos à ce type de commerce après avoir été convaincues que l’activité engendre de graves problèmes sur la Santé de leurs concitoyens.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, 15% des médicaments en circulation dans le monde seraient des faux, de 30 à 70 % selon les pays d’Afrique, et près de 60 % de ceux vendus sur Internet.
La conférence d’Abidjan tenue en octobre s’était déroulée autour du thème « Pour une action conjointe contre les faux médicaments ».
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