« Analyser les déterminants de la détection de l’émergence des arboviroses en côte d’ivoire » ; C’est le thème de la thèse soutenue par Ouattara Djénéba, le 20 octobre au campus de cocody.
Il s’agissait pour l’impétrant, de cerner l’émergence des arboviroses en côte d’ivoire, déterminer la prévalence de certaines maladies telles la ‘’dengue’’maladie virale transmise par la piqûre des moustiques dans les régions tropicales, d’identifier les facteurs relatifs aux compétences des médecins sur les arboviroses (fièvre jaune, paludisme…) aux pratiques du diagnostic des états fébriles et aux performances du système d’alerte précoce.
Pour Ouattara Djénéba, les résultats de ses travaux ont montré que la détection des arboviroses n’était pas faite systématiquement chez les patients. les réponses de son enquête, ont démontré que la fièvre jaune, parmi les arboviroses est la plus connue avec un taux de 94%. Toute chose qui s’explique par un manque de formation des médecins. Car pour elle, des études ont révélé à 100% l’absence d’identification des cas suspects, l’inexistence d’un diagnostic différentiel avec le paludisme notamment, et une absence de test de diagnostic des arboviroses dans les structures médicales.
L’aspirant au grade de docteur estime que la plus part des arboviroses sont causée par la pauvreté, et le comportement dû à l’ignorance des populations, la défaillance de surveillance assurée par manque de financement pour l’achat des sédatifs.
Précisons que cette soutenance était présidée par le Pr Ly Ramatta Bakayoko, par ailleurs ministre de l’enseignement supérieur. Un travail sanctionné par la mention honorable du jury présidé par le professeur Bakayoko Ly Ramata, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la recherche scientifique.
coll BM
Il s’agissait pour l’impétrant, de cerner l’émergence des arboviroses en côte d’ivoire, déterminer la prévalence de certaines maladies telles la ‘’dengue’’maladie virale transmise par la piqûre des moustiques dans les régions tropicales, d’identifier les facteurs relatifs aux compétences des médecins sur les arboviroses (fièvre jaune, paludisme…) aux pratiques du diagnostic des états fébriles et aux performances du système d’alerte précoce.
Pour Ouattara Djénéba, les résultats de ses travaux ont montré que la détection des arboviroses n’était pas faite systématiquement chez les patients. les réponses de son enquête, ont démontré que la fièvre jaune, parmi les arboviroses est la plus connue avec un taux de 94%. Toute chose qui s’explique par un manque de formation des médecins. Car pour elle, des études ont révélé à 100% l’absence d’identification des cas suspects, l’inexistence d’un diagnostic différentiel avec le paludisme notamment, et une absence de test de diagnostic des arboviroses dans les structures médicales.
L’aspirant au grade de docteur estime que la plus part des arboviroses sont causée par la pauvreté, et le comportement dû à l’ignorance des populations, la défaillance de surveillance assurée par manque de financement pour l’achat des sédatifs.
Précisons que cette soutenance était présidée par le Pr Ly Ramatta Bakayoko, par ailleurs ministre de l’enseignement supérieur. Un travail sanctionné par la mention honorable du jury présidé par le professeur Bakayoko Ly Ramata, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la recherche scientifique.
coll BM