Le président centrafricain Faustin Touadera a sollicité lundi à Abidjan le soutien de son homologue ivoirien Alassane Ouattara, en vue de la conférence des donateurs et bailleurs de fonds qui se tiendra le 17 novembre à Bruxelles, au bénéfice de la Centrafrique qui a amorcé une sortie de crise.
"Nous sommes venus vous solliciter pour que vous portiez votre voix à la conférence des donateurs et des bailleurs de fonds à Bruxelles pour que les partenaires puissent nous aider" a dit M.Touadera.
Le président centrafricain qui estime que son homologue "a une voix qui porte", l'a sollicité afin de les aider dans la mobilisation des ressources.
Il a aussi ajouté que "la crise que la Centrafrique a connue est d’abord un problème de sous-développement, et avec l’apport de certains bailleurs nous pouvons relever la Centrafrique".
M.Touadera a en outre expliqué être venu "discuter avec la Banque africaine de développement (BAD), pour soutenir la stratégie que nous présentons aux bailleurs pour le développement de la Centrafrique"
Depuis le coup d'Etat du 24 mars 2013 par les rebelles de la Seleka contre le président Bozizé, la République Centrafricaine affiche le visage d’un pays politiquement instable, économiquement faible, et dans lequel le niveau d’insécurité dans l’arrière-pays reste une source de préoccupation.
HAN
"Nous sommes venus vous solliciter pour que vous portiez votre voix à la conférence des donateurs et des bailleurs de fonds à Bruxelles pour que les partenaires puissent nous aider" a dit M.Touadera.
Le président centrafricain qui estime que son homologue "a une voix qui porte", l'a sollicité afin de les aider dans la mobilisation des ressources.
Il a aussi ajouté que "la crise que la Centrafrique a connue est d’abord un problème de sous-développement, et avec l’apport de certains bailleurs nous pouvons relever la Centrafrique".
M.Touadera a en outre expliqué être venu "discuter avec la Banque africaine de développement (BAD), pour soutenir la stratégie que nous présentons aux bailleurs pour le développement de la Centrafrique"
Depuis le coup d'Etat du 24 mars 2013 par les rebelles de la Seleka contre le président Bozizé, la République Centrafricaine affiche le visage d’un pays politiquement instable, économiquement faible, et dans lequel le niveau d’insécurité dans l’arrière-pays reste une source de préoccupation.
HAN