La difficile réminiscence des victimes des crises ivoiriennes à travers le film « Le Réveil de l’Eléphant » du Burkinabè, Souleymane Drabo a été projeté, vendredi soir, à Abidjan en ouverture de la 8ème édition du festival de films sur les droits humains et la liberté d’expression, «Ciné Droit Libre», a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Un film d’environ une heure de temps qui retrace les atrocités de la guerre racontée par des survivants des guerres qu’a connues la Côte d’Ivoire.
Du charnier de Yopougon (Ouest Abidjan) en passant par les massacres dans la ville de Duékoué à l’extrême ouest ivoirien, la difficile réminiscence des victimes de la crise en Côte d’Ivoire a été abordée à travers ce films qui a plongé parfois la salle déjà « noir » pour l’occasion, dans une tristesse avec des pleurs à l’Institut français d’Abidjan .
Selon le Coordonnateur Yacouba Sangaré de Ciné Droit Libre (CDL) ce sont « 25 films percutants et chocs, essentiellement des documentaires », qui seront projetés sur huit sites que sont l’Institut Français (Plateau), le Goethe-Institut (Cocody), le Village Ki-Yi (Cocody-Riviera 2), le Centre Ami de Cœur (Yopougon), la Cité Félix Houphouët-Boigny (Koumassi), le lycée Mamie Faitai de Bingerville, le Centre Jean Don Bosco de Koumassi et l’Orphelinat de Grand-Bassam.
Outre « Le Réveil de l’Eléphant », le public aura également droit à « Boko Haram : Les origines du mal » de Xavier Muntz, qui évoque les massacres de la secte terroriste basée au Nigéria , «Le piège-Immigration clandestine» d’Alexandre Dereims, qui suit de jeunes Africains dans un dramatique voyage vers l’Europe avec pour principe « un film, un thème, un débat ».
Cette édition qui se déroule en présence d’Alioune Tine , Directeur d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre par ailleurs co-parrain, sera l’occasion de sensibiliser la jeunesse surtout à dire « Non à l’extrémisme violent et à l’immigration clandestine ».
« L’extrémisme violent ce ne sont pas seulement les attentats terroristes.C’est aussi les violences inouïes qui ont émaillés les crises ivoiriennes qui occasionnant de nombreux morts », a soutenu Yacouba Sangaré qui a par ailleurs regretté, l’immigration clandestine qui continue d’endeuiller de nombreuses familles.
Le festival "Ciné Droit Libre" a pour objectif de promouvoir et de défendre les droits humains ainsi que la liberté d’expression à travers le cinéma.Il se tient chaque année dans 4 pays de l’Afrique de l’Ouest, à savoir le Burkina Faso, le Sénégal, le Mali et la Côte d’Ivoire.
SY/ls/APA
Un film d’environ une heure de temps qui retrace les atrocités de la guerre racontée par des survivants des guerres qu’a connues la Côte d’Ivoire.
Du charnier de Yopougon (Ouest Abidjan) en passant par les massacres dans la ville de Duékoué à l’extrême ouest ivoirien, la difficile réminiscence des victimes de la crise en Côte d’Ivoire a été abordée à travers ce films qui a plongé parfois la salle déjà « noir » pour l’occasion, dans une tristesse avec des pleurs à l’Institut français d’Abidjan .
Selon le Coordonnateur Yacouba Sangaré de Ciné Droit Libre (CDL) ce sont « 25 films percutants et chocs, essentiellement des documentaires », qui seront projetés sur huit sites que sont l’Institut Français (Plateau), le Goethe-Institut (Cocody), le Village Ki-Yi (Cocody-Riviera 2), le Centre Ami de Cœur (Yopougon), la Cité Félix Houphouët-Boigny (Koumassi), le lycée Mamie Faitai de Bingerville, le Centre Jean Don Bosco de Koumassi et l’Orphelinat de Grand-Bassam.
Outre « Le Réveil de l’Eléphant », le public aura également droit à « Boko Haram : Les origines du mal » de Xavier Muntz, qui évoque les massacres de la secte terroriste basée au Nigéria , «Le piège-Immigration clandestine» d’Alexandre Dereims, qui suit de jeunes Africains dans un dramatique voyage vers l’Europe avec pour principe « un film, un thème, un débat ».
Cette édition qui se déroule en présence d’Alioune Tine , Directeur d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre par ailleurs co-parrain, sera l’occasion de sensibiliser la jeunesse surtout à dire « Non à l’extrémisme violent et à l’immigration clandestine ».
« L’extrémisme violent ce ne sont pas seulement les attentats terroristes.C’est aussi les violences inouïes qui ont émaillés les crises ivoiriennes qui occasionnant de nombreux morts », a soutenu Yacouba Sangaré qui a par ailleurs regretté, l’immigration clandestine qui continue d’endeuiller de nombreuses familles.
Le festival "Ciné Droit Libre" a pour objectif de promouvoir et de défendre les droits humains ainsi que la liberté d’expression à travers le cinéma.Il se tient chaque année dans 4 pays de l’Afrique de l’Ouest, à savoir le Burkina Faso, le Sénégal, le Mali et la Côte d’Ivoire.
SY/ls/APA