Yamoussoukro - Le directeur de cabinet adjoint du ministère de l'Intérieur et de la Sécurité, Vincent Tohbi Irié, a encouragé jeudi les Ivoiriens à jouer leur part dans la collecte du renseignement pour prévenir et mieux gérer les menaces terrorisme en Côte d’Ivoire.
« Le renseignement, ce n’est pas seulement ce que nous savons, mais c’est la protection de notre économie, de notre société », a souligné le directeur de cabinet du MEMIS à l’occasion d’un séminaire de sensibilisation des préfets et des forces de sécurité sur la prévention de l’extrémiste violent.
M Tohbi a indiqué que la menace terroriste n’est plus une virtualité ni un témoignage lointain, mais fait désormais partie du quotidien des Ivoiriens. « Elle a modifié nos comportements, les contrôles de sécurité, le système de communication, les surveillances, l’accroissement des ressources et de renseignements qui sont devenus des passages obligés pour que nos États soient stables », a-t-il souligné.
Il est constitué dans le Sahel des bandes fortes qui ont des avions qui ont des camps d’entraînement. Elles occupent plusieurs millions de km² où la surveillance par drone est très difficile. Ces terroristes mettent en place des moyens de financement, alimentent leurs réseaux, ils sont très perfectionnés en matière de développement et de communication. Ils sont partout et prêts à utiliser tous les circuits, a-t-il ajouté.
« C’est pourquoi la lutte contre le terrorisme n’est pas une question d’armement, c’est aussi une question de surveillance de transaction financière, des idées et de certaines actions de sécurité de notre État (…) et de solidarité sécuritaire au niveau régional et africain », a insisté le représentant du ministre d'Etat Hamed Bakayoko.
nam/cmas
« Le renseignement, ce n’est pas seulement ce que nous savons, mais c’est la protection de notre économie, de notre société », a souligné le directeur de cabinet du MEMIS à l’occasion d’un séminaire de sensibilisation des préfets et des forces de sécurité sur la prévention de l’extrémiste violent.
M Tohbi a indiqué que la menace terroriste n’est plus une virtualité ni un témoignage lointain, mais fait désormais partie du quotidien des Ivoiriens. « Elle a modifié nos comportements, les contrôles de sécurité, le système de communication, les surveillances, l’accroissement des ressources et de renseignements qui sont devenus des passages obligés pour que nos États soient stables », a-t-il souligné.
Il est constitué dans le Sahel des bandes fortes qui ont des avions qui ont des camps d’entraînement. Elles occupent plusieurs millions de km² où la surveillance par drone est très difficile. Ces terroristes mettent en place des moyens de financement, alimentent leurs réseaux, ils sont très perfectionnés en matière de développement et de communication. Ils sont partout et prêts à utiliser tous les circuits, a-t-il ajouté.
« C’est pourquoi la lutte contre le terrorisme n’est pas une question d’armement, c’est aussi une question de surveillance de transaction financière, des idées et de certaines actions de sécurité de notre État (…) et de solidarité sécuritaire au niveau régional et africain », a insisté le représentant du ministre d'Etat Hamed Bakayoko.
nam/cmas
