Pour le premier tour de table avec les bailleurs, 12,8 milliards FCFA (environ 21,760 millions de dollars) d’intentions de financement ont été annoncé par les bailleurs en faveur de la stratégie régionale d’inclusion financière de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), a révélé jeudi à Dakar M. Mamadou Samba directeur de la stabilité financière et de la stratégie d’inclusion financière de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).
Il s’exprimait lors d’un point de presse à l’issue de la table ronde des bailleurs de fonds pour le financement de la stratégie régionale d’inclusion financière de l’UEMOA organisée par la BCEAO et United Nations Capital Development Fund (UNCDF).
Détaillant l’enveloppe globale des bailleurs de fonds, M. Samba affirme que le montant annoncé est de 8,8 milliards FCFA auquel s’ajoute 4 milliards FCFA de la Banque mondiale et qui sera utilisé différemment puisqu’il s’agit d’un fonds qui ne sera pas mis dans la cagnotte.
« D’autres partenaires techniques et financiers ont marqué leur intérêt pour la stratégie mais n’ont pas encore énoncé leur intention de financement », a précisé M. Samba.
Le budget de la stratégie régionale d’inclusion financière de l’UEMOA est de 20 milliards de FCFA avec une contribution de la BCEAO à hauteur de 2,2 milliards de FCFA.
Auparavant, lors de la cérémonie de clôture de la table ronde des bailleurs de fonds, M. Tiémoko Meyliet Koné, le gouverneur de la BCEAO a fait part de sa satisfaction pour le premier tour de table. « Les résultats obtenus me confortent que la mise ne œuvre de la stratégie est prise en charge grâce aux engagements pris», a-t-il laissé entendre. Il ajoute que les contacts seront poursuivis avec les autres bailleurs de fonds qui n’ont pas encore décliné leur intention de financement ainsi que ceux qui n’ont pris part à la table ronde.
Le document-cadre de politique et de stratégie régionale d’inclusion financière a été adopté par le conseil des ministres de l’UEMOA lors de sa session de juin 2016. Il repose sur cinq axes prioritaires. Il s’agit de promouvoir un cadre légal et réglementaire et une supervision efficace, d’assainir et de renforcer le secteur de la microfinance, de promouvoir les innovations favorables à l’inclusion financière des populations exclues (jeunes, femmes PME, populations rurales), de renforcer l’éducation financière et la protection du client de services financiers et enfin de mettre en place un cadre fiscal et des politiques favorables à l’inclusion financière.
MS/APA
Il s’exprimait lors d’un point de presse à l’issue de la table ronde des bailleurs de fonds pour le financement de la stratégie régionale d’inclusion financière de l’UEMOA organisée par la BCEAO et United Nations Capital Development Fund (UNCDF).
Détaillant l’enveloppe globale des bailleurs de fonds, M. Samba affirme que le montant annoncé est de 8,8 milliards FCFA auquel s’ajoute 4 milliards FCFA de la Banque mondiale et qui sera utilisé différemment puisqu’il s’agit d’un fonds qui ne sera pas mis dans la cagnotte.
« D’autres partenaires techniques et financiers ont marqué leur intérêt pour la stratégie mais n’ont pas encore énoncé leur intention de financement », a précisé M. Samba.
Le budget de la stratégie régionale d’inclusion financière de l’UEMOA est de 20 milliards de FCFA avec une contribution de la BCEAO à hauteur de 2,2 milliards de FCFA.
Auparavant, lors de la cérémonie de clôture de la table ronde des bailleurs de fonds, M. Tiémoko Meyliet Koné, le gouverneur de la BCEAO a fait part de sa satisfaction pour le premier tour de table. « Les résultats obtenus me confortent que la mise ne œuvre de la stratégie est prise en charge grâce aux engagements pris», a-t-il laissé entendre. Il ajoute que les contacts seront poursuivis avec les autres bailleurs de fonds qui n’ont pas encore décliné leur intention de financement ainsi que ceux qui n’ont pris part à la table ronde.
Le document-cadre de politique et de stratégie régionale d’inclusion financière a été adopté par le conseil des ministres de l’UEMOA lors de sa session de juin 2016. Il repose sur cinq axes prioritaires. Il s’agit de promouvoir un cadre légal et réglementaire et une supervision efficace, d’assainir et de renforcer le secteur de la microfinance, de promouvoir les innovations favorables à l’inclusion financière des populations exclues (jeunes, femmes PME, populations rurales), de renforcer l’éducation financière et la protection du client de services financiers et enfin de mettre en place un cadre fiscal et des politiques favorables à l’inclusion financière.
MS/APA
