Marrakech - Le gouvernement du Brésil, représenté par José Sarney Filho, ministre de l’Environnement et Blairo Maggi, ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de l’Alimentation, a lancé, mercredi, à Marrakech la plateforme Biofuture qui vise la promotion d’une coordination internationale des biocarburants et le développement de la bioéconomie.
De nombreux pays ont déjà développé des stratégies bioéconomiques qui comprennent l’utilisation de biocarburants, de bioénergies et de produits fabriqués écologiquement, relève-t-on. Mais selon José Sarney Filho, la COP22 existe pour que soient mis en commun les savoirs et les expériences. D’où la création de la plateforme Biofuture.
Les transports représentent en effet 23% des émissions de gaz à effet de serre dégagés par le secteur des énergies, et sont un des secteurs les plus difficiles à décarboniser. Des solutions à long terme telles que la voiture électrique ont été lancées, mais d’autres plus immédiates peuvent être mises en place dans les poids lourds ou le transport aérien par exemple.
Plusieurs évaluations indépendantes suggèrent que les carburants et les biomatériaux de la prochaine génération peuvent réduire de façon significative les émissions de gaz à effet de serre, parfois jusqu’à 90% en comparaison aux alternatives fossiles.
Ces combustibles de deuxième génération peuvent utiliser des résidus agricoles et des déchets comme matières premières, être produits sans ressources additionnelles en terres et en eau, accroître les revenus dans les zones rurales et réduire le coût de la production en augmentant la productivité et la valeur économique de chaque culture.
(AIP)
ask
De nombreux pays ont déjà développé des stratégies bioéconomiques qui comprennent l’utilisation de biocarburants, de bioénergies et de produits fabriqués écologiquement, relève-t-on. Mais selon José Sarney Filho, la COP22 existe pour que soient mis en commun les savoirs et les expériences. D’où la création de la plateforme Biofuture.
Les transports représentent en effet 23% des émissions de gaz à effet de serre dégagés par le secteur des énergies, et sont un des secteurs les plus difficiles à décarboniser. Des solutions à long terme telles que la voiture électrique ont été lancées, mais d’autres plus immédiates peuvent être mises en place dans les poids lourds ou le transport aérien par exemple.
Plusieurs évaluations indépendantes suggèrent que les carburants et les biomatériaux de la prochaine génération peuvent réduire de façon significative les émissions de gaz à effet de serre, parfois jusqu’à 90% en comparaison aux alternatives fossiles.
Ces combustibles de deuxième génération peuvent utiliser des résidus agricoles et des déchets comme matières premières, être produits sans ressources additionnelles en terres et en eau, accroître les revenus dans les zones rurales et réduire le coût de la production en augmentant la productivité et la valeur économique de chaque culture.
(AIP)
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