Grand-Bassam - Dans le cadre des activités de la fête de l’Abissa, Côte d’Ivoire Tourisme a organisé vendredi au centre de culture Jean Baptiste Mockey de Grand-Bassam, une conférence à l’endroit des chefs traditionnels de la commune sur le thème « Quelle stratégie de sauvegarde des statuts du patrimoine mondial de l’UNESCO au quartier France de Grand-Bassam ».
Le conférencier, M. Ydo Yao, représentant résident de l’UNESCO en Côte d’Ivoire, a rappelé que si le quartier France de Grand-Bassam a été inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO le 29 juin 2012, c’est parce qu’il constitue « un site de valeurs universelles exceptionnelles. »
Pour lui, cela confère de nombreux avantages à la Côte d’Ivoire et principalement à Grand-Bassam, notamment la notoriété internationale, un prestige de préservation et d’assistance à travers des fonds d’urgence, et de plan de gestion et de création d’emplois directs et indirects.
Aussi, a-t-il interpellé tous les chefs traditionnels de Grand-Bassam à adopter une stratégie durable de sauvegarde, c'est-à-dire une stratégie de restauration des bâtiments en respectant les critères de l’UNESCO, de restauration de l’écotourisme, etc. « Désormais, les constructions des bâtiments ou les réhabilitations devront tenir compte des critères érigés par l’UNESCO », a insisté Ydo Yao.
« Préserver la ville de Grand-Bassam sur la liste est un défi permanent pour tous en passant par l’état jusqu’aux populations locales »,a-t-il conclu.
(AIP)
Le conférencier, M. Ydo Yao, représentant résident de l’UNESCO en Côte d’Ivoire, a rappelé que si le quartier France de Grand-Bassam a été inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO le 29 juin 2012, c’est parce qu’il constitue « un site de valeurs universelles exceptionnelles. »
Pour lui, cela confère de nombreux avantages à la Côte d’Ivoire et principalement à Grand-Bassam, notamment la notoriété internationale, un prestige de préservation et d’assistance à travers des fonds d’urgence, et de plan de gestion et de création d’emplois directs et indirects.
Aussi, a-t-il interpellé tous les chefs traditionnels de Grand-Bassam à adopter une stratégie durable de sauvegarde, c'est-à-dire une stratégie de restauration des bâtiments en respectant les critères de l’UNESCO, de restauration de l’écotourisme, etc. « Désormais, les constructions des bâtiments ou les réhabilitations devront tenir compte des critères érigés par l’UNESCO », a insisté Ydo Yao.
« Préserver la ville de Grand-Bassam sur la liste est un défi permanent pour tous en passant par l’état jusqu’aux populations locales »,a-t-il conclu.
(AIP)