Une Atelier régional de formation sur l’analyse des risques phytosanitaires du cacaoyer regroupant cinq pays qui contribuent à 98 % de la production africaine a ouvert ses portes, lundi, à Abidjan, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Selon Dr Nicodème Zakri du Centre national de recherche agronomique (CNRA), « la cacaoculture en Afrique fait face à de nombreuses contraintes liées à la combinaison de facteurs tels que la faible productivité, le vieillissement des vergers, et surtout l’impact des ravageurs et des maladies ».
Par ailleurs, « la maladie du balai de sorcière et la moniliose qui affectent la production en Amérique latine et celle du foreur des cabosses, responsable d’importantes pertes en Asie pourraient être dévastatrices si elles étaient introduites en Afrique », prévient le Chercheur.
D’où ce projet régional qui a pour objectif « d’améliorer la productivité des exploitations de cacao par la lutte intégrée contre les maladies et les insectes nuisibles exogènes ».
Pour sa part, Nanga Coulibaly du Conseil Café-cacao a salué le choix de la capitale économique ivoirienne pour abriter un tel événement qui « permettra de mieux gérer et maîtriser ces phénomènes ravageurs ».
L’atelier d’Abidjan est organisé dans le cadre de la mise en œuvre du projet CFC /ICCO/43 financé par le Fonds commun des produits de bases (CFC) avec une contribution des pays participants et des chocolatiers.
L'Afrique détient environ 70% de la production mondiale. Ce volume de production provient pour la plupart de cinq pays que sont la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Nigeria, le Cameroun et le Togo. Ces cinq pays participent à cet atelier qui s’achève le 02 décembre prochain représentent 98% de la production africaine de cacao.
SY/ls/APA
Selon Dr Nicodème Zakri du Centre national de recherche agronomique (CNRA), « la cacaoculture en Afrique fait face à de nombreuses contraintes liées à la combinaison de facteurs tels que la faible productivité, le vieillissement des vergers, et surtout l’impact des ravageurs et des maladies ».
Par ailleurs, « la maladie du balai de sorcière et la moniliose qui affectent la production en Amérique latine et celle du foreur des cabosses, responsable d’importantes pertes en Asie pourraient être dévastatrices si elles étaient introduites en Afrique », prévient le Chercheur.
D’où ce projet régional qui a pour objectif « d’améliorer la productivité des exploitations de cacao par la lutte intégrée contre les maladies et les insectes nuisibles exogènes ».
Pour sa part, Nanga Coulibaly du Conseil Café-cacao a salué le choix de la capitale économique ivoirienne pour abriter un tel événement qui « permettra de mieux gérer et maîtriser ces phénomènes ravageurs ».
L’atelier d’Abidjan est organisé dans le cadre de la mise en œuvre du projet CFC /ICCO/43 financé par le Fonds commun des produits de bases (CFC) avec une contribution des pays participants et des chocolatiers.
L'Afrique détient environ 70% de la production mondiale. Ce volume de production provient pour la plupart de cinq pays que sont la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Nigeria, le Cameroun et le Togo. Ces cinq pays participent à cet atelier qui s’achève le 02 décembre prochain représentent 98% de la production africaine de cacao.
SY/ls/APA