Korhogo – Un atelier de dialogue socio-sécuritaire pour renforcer la confiance entre les Forces de défense et de sécurité (FDS) et la population s’est ouvert samedi à Korhogo, à l’initiative du Conseil national de sécurité (CNS) et du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
Initié en collaboration avec l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci) et le Commandement Supérieur de la Gendarmerie, cet atelier se propose de diagnostiquer les causes des tensions récurrentes entre les populations et les FDS, puis de mettre en place des mécanismes de prévention, de gestion et de suivi de la gestion des conflits entre elles.
Les crises ivoiriennes de 2002 à 2011 se sont soldées par la persistance d’un climat de méfiance entre les FDS et la population dont certaines manifestations ont consisté en la défiance des premiers cités, récemment à Bouna et Katiola, entre autres villes.
Selon le représentant du PNUD, Babacar Cissé, l’expérience à travers le monde a montré que l’implication de population dans la résolution des problèmes de sécurité aux côtés des forces de l’ordre est toujours nécessaire, notamment dans un contexte post crise comme celui de la Côte d’Ivoire.
Environ 70 personnes, choisies parmi les éléments des FDS et les leaders communautaires participent, aux côtés de personnes ressources du CNS, du PNUD et de l’ONU, à cet atelier qui prend fin dimanche.
kaem/cmas
Initié en collaboration avec l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci) et le Commandement Supérieur de la Gendarmerie, cet atelier se propose de diagnostiquer les causes des tensions récurrentes entre les populations et les FDS, puis de mettre en place des mécanismes de prévention, de gestion et de suivi de la gestion des conflits entre elles.
Les crises ivoiriennes de 2002 à 2011 se sont soldées par la persistance d’un climat de méfiance entre les FDS et la population dont certaines manifestations ont consisté en la défiance des premiers cités, récemment à Bouna et Katiola, entre autres villes.
Selon le représentant du PNUD, Babacar Cissé, l’expérience à travers le monde a montré que l’implication de population dans la résolution des problèmes de sécurité aux côtés des forces de l’ordre est toujours nécessaire, notamment dans un contexte post crise comme celui de la Côte d’Ivoire.
Environ 70 personnes, choisies parmi les éléments des FDS et les leaders communautaires participent, aux côtés de personnes ressources du CNS, du PNUD et de l’ONU, à cet atelier qui prend fin dimanche.
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