San Pedro – Une délégation du Conseil du café-cacao (CCC), comprenant un technicien, un juriste et un financier, a formé des membres des Comités de suivi (CDS) de la filière café-cacao des départements de San Pedro, Fresco, Sassandra et Tabou, dans le but de rappeler et préciser les attributions de ces structures, ainsi que leur mode de fonctionnement.
Le chargé des CDS auprès du directeur technique des opérations du Conseil du café-cacao, Samiga Coulibaly, a expliqué, lundi, que l’initiative de cette formation est justifiée par le fait que dans leur fonctionnement, de nombreux CDS ont outrepassé leurs missions.
Selon M. Samiga, beaucoup parmi les CDS étaient encore dans l’opérationnalité et faisaient des barrages, des saisies de produits, alors que « depuis sa création en novembre 2011, le Conseil du café cacao est désormais l’unique organe compétent pour gérer cette filière depuis le producteur jusqu’à l’exportation ».
« Les CDS sont comme un organe d’arbitrage, qui donne des conseils, constate les choses et informe le Conseil du café-cacao pour que celui-ci améliore le fonctionnement de la filière », a précisé le chargé des CDS. Il a demandé au CDS de s’en tenir à ces missions-là pour ne pas créer un conflit de compétence susceptible d’affecter la commercialisation intérieure du café-cacao.
L’équipe de formation a également insisté pour que pour que les différents CDS adresse trimestriellement leurs rapports au CCC afin de permettre au conseil d’être informé du travail effectué par ceux-ci dans les départements. Les gestionnaires des CDS ont souhaité la mise à disposition de certains textes pour leur permettre de mieux appréhender leurs zones de compétences et ses limites.
Il existe 74 CDS à travers les zones de productions du café et du cacao. Présidés par l’autorité préfectorale, ils sont composés des principaux acteurs intervenant dans la filière ainsi que des forces de l’ordre.
jmk/tm
Le chargé des CDS auprès du directeur technique des opérations du Conseil du café-cacao, Samiga Coulibaly, a expliqué, lundi, que l’initiative de cette formation est justifiée par le fait que dans leur fonctionnement, de nombreux CDS ont outrepassé leurs missions.
Selon M. Samiga, beaucoup parmi les CDS étaient encore dans l’opérationnalité et faisaient des barrages, des saisies de produits, alors que « depuis sa création en novembre 2011, le Conseil du café cacao est désormais l’unique organe compétent pour gérer cette filière depuis le producteur jusqu’à l’exportation ».
« Les CDS sont comme un organe d’arbitrage, qui donne des conseils, constate les choses et informe le Conseil du café-cacao pour que celui-ci améliore le fonctionnement de la filière », a précisé le chargé des CDS. Il a demandé au CDS de s’en tenir à ces missions-là pour ne pas créer un conflit de compétence susceptible d’affecter la commercialisation intérieure du café-cacao.
L’équipe de formation a également insisté pour que pour que les différents CDS adresse trimestriellement leurs rapports au CCC afin de permettre au conseil d’être informé du travail effectué par ceux-ci dans les départements. Les gestionnaires des CDS ont souhaité la mise à disposition de certains textes pour leur permettre de mieux appréhender leurs zones de compétences et ses limites.
Il existe 74 CDS à travers les zones de productions du café et du cacao. Présidés par l’autorité préfectorale, ils sont composés des principaux acteurs intervenant dans la filière ainsi que des forces de l’ordre.
jmk/tm