Le rideau est tombé, samedi dernier, sur la 5ème Festival international du film des lacs et lagunes (Festilag), avec le sacre du film burkinabé «La fille de sa mère».
La promotrice Naky Sy Savané a, au cours de la cérémonie de clôture à la salle Jean-Baptiste Mockey de Grand-Bassam, tenté de jouer les prolongations. En effet, l’équipe du Festilag, pour contenter les festivaliers de l’Abissa, a programmé plusieurs films pour la dernière soirée du Festilag 2016.
Cette initiative a été saluée par les festivaliers qui, profitant d’une pause sur la place Abissa, se sont rendus dans la salle de projection pour suivre les films à eux proposés.
3 films étaient en course pour le Grand Prix de la diversité culturelle de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif) doté d’un montant de 5000 euros (3275000 Fcfa).
Présidé par le réalisateur Patrick Doué, le jury a désigné le film de fiction de 90 min des Burkinabé Carine Bado et Serge Sawadogo : «La Fille de sa mère», grand vainqueur de cette édition. Ce film, à en croire Patrick Doué, a «conquis le cœur» des membres du jury. Le président du jury n’a pas manqué de rendre un vibrant hommage au Festilag et à sa promotrice Naky Sy Savané qui, au terme de l’édition 2016, a sélectionné le projet de deux jeunes réalisateurs ivoiriens pour un financement en vue d’aboutir à une coproduction.
Trois autres prix ont été attribués au cours de la cérémonie de clôture dont le Prix du meilleur court-métrage pour le film «Née en prison» de la Béninoise Henriette Hangnamey, le Prix du meilleur documentaire pour «Abidjan, on dit quoi ?» de la Française Jeanne Coudurier. Le réalisateur Jacques Tra Bi a remporté le Prix Lagunewood du meilleur film ivoirien pour sa fiction «Sans regret».
Marcellin BOGUY
La promotrice Naky Sy Savané a, au cours de la cérémonie de clôture à la salle Jean-Baptiste Mockey de Grand-Bassam, tenté de jouer les prolongations. En effet, l’équipe du Festilag, pour contenter les festivaliers de l’Abissa, a programmé plusieurs films pour la dernière soirée du Festilag 2016.
Cette initiative a été saluée par les festivaliers qui, profitant d’une pause sur la place Abissa, se sont rendus dans la salle de projection pour suivre les films à eux proposés.
3 films étaient en course pour le Grand Prix de la diversité culturelle de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif) doté d’un montant de 5000 euros (3275000 Fcfa).
Présidé par le réalisateur Patrick Doué, le jury a désigné le film de fiction de 90 min des Burkinabé Carine Bado et Serge Sawadogo : «La Fille de sa mère», grand vainqueur de cette édition. Ce film, à en croire Patrick Doué, a «conquis le cœur» des membres du jury. Le président du jury n’a pas manqué de rendre un vibrant hommage au Festilag et à sa promotrice Naky Sy Savané qui, au terme de l’édition 2016, a sélectionné le projet de deux jeunes réalisateurs ivoiriens pour un financement en vue d’aboutir à une coproduction.
Trois autres prix ont été attribués au cours de la cérémonie de clôture dont le Prix du meilleur court-métrage pour le film «Née en prison» de la Béninoise Henriette Hangnamey, le Prix du meilleur documentaire pour «Abidjan, on dit quoi ?» de la Française Jeanne Coudurier. Le réalisateur Jacques Tra Bi a remporté le Prix Lagunewood du meilleur film ivoirien pour sa fiction «Sans regret».
Marcellin BOGUY