Dimbokro - Le district sanitaire de Dimbokro a partagé l’espoir de l’ONUSIDA pour éradiquer la pandémie d’ici 2030, en expliquant les nouvelles approches de lutte contre le VIH/SIDA préconisées , lors d’une cérémonie marquant la 29ème journée mondiale de la lutte contre le VIH/SIDA organisée, jeudi en collaboration avec la Fondation EGPAF à Dimbokro.
A travers trois présentations, les praticiens ont montré la vision de l’institution internationale de lutte contre le SIDA qui est d’abord de contrôler le virus d’ici 2020 et ensuite de l’éradiquer en 2030. Pour atteindre ce résultat de nouvelles approches ont été préconisées notamment celle des trois 90.
Mme Sow Mariam de EGPAF a expliqué que la stratégie des trois 90 signifie que « 90% des personnes ciblées doivent être dépistées et 90 % des dépistés séropositifs doit être mis sous traitements antirétroviraux et 90% des personnes sous traitement doivent en six mois avoir une charge virale indétectable ou de suppression ». Elle a encouragé les populations à connaitre leur statut sérologique.
Pour le directeur départemental de la santé de Dimbokro, Dr Alléchi Prospère, le SIDA ne doit plus tuer. Il a invité les participants à être des relais pour que la vision de l’ONUSIDA d’éradiquer la pandémie en 2030 soit une réalité. Toute chose soutenue par le secrétaire général 1 de préfecture qui a félicité les agents de santé pour l’organisation de cette journée riche en enseignement. Chaque premier décembre le monde entier célèbre la journée mondiale de lutte contre le VIH/SIDA.
ik/tm
A travers trois présentations, les praticiens ont montré la vision de l’institution internationale de lutte contre le SIDA qui est d’abord de contrôler le virus d’ici 2020 et ensuite de l’éradiquer en 2030. Pour atteindre ce résultat de nouvelles approches ont été préconisées notamment celle des trois 90.
Mme Sow Mariam de EGPAF a expliqué que la stratégie des trois 90 signifie que « 90% des personnes ciblées doivent être dépistées et 90 % des dépistés séropositifs doit être mis sous traitements antirétroviraux et 90% des personnes sous traitement doivent en six mois avoir une charge virale indétectable ou de suppression ». Elle a encouragé les populations à connaitre leur statut sérologique.
Pour le directeur départemental de la santé de Dimbokro, Dr Alléchi Prospère, le SIDA ne doit plus tuer. Il a invité les participants à être des relais pour que la vision de l’ONUSIDA d’éradiquer la pandémie en 2030 soit une réalité. Toute chose soutenue par le secrétaire général 1 de préfecture qui a félicité les agents de santé pour l’organisation de cette journée riche en enseignement. Chaque premier décembre le monde entier célèbre la journée mondiale de lutte contre le VIH/SIDA.
ik/tm
