Bouaflé – Au total, 253 agents techniques des Eaux et Forêts dont 35 femmes ont été présentés, vendredi, au drapeau à l’issue d’une formation commune de base (FCB) qui s’est déroulée durant un mois à l’école de faune et des aires protégées (EFAP) de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué).
La formation de ces agents issus des ministères des eaux et Forêts et de l’Environnement et du Développement durable consiste, entre autres, à la pratique régulière d’exercices physiques couplée avec le parcours du combattant, le démontage et le remontage des armes, le combat, le règlement, la transmission et la conduite et la sécurité des patrouilles en forêt.
Le parrain de la promotion, Louis-André Dakoury Tabley, ministre des Eaux et Forêts a déploré la détérioration du couvert forestier de la Cote d’Ivoire qui est passé de 16 millions à deux millions d’ha, entraînant un cycle infernal qui "pourrait conduire à des drames comme la sécheresse, la désertification et la pénurie alimentaire".
« L’agent des Eaux et Forêts que vous êtes doit prendre la mesure de cette catastrophe annoncée et manifester une réelle volonté de lutter avec courage et détermination contre ce fléau pour stabiliser et si possible inverser les effets de cette déforestation sauvage », a-t-il lancé à ses filleuls, en présence des autorités administratives, parents et amis ayant effectué le déplacement.
Les agents formés par des formateurs de la police forestière comprennent des ingénieurs et des techniciens des Eaux et Forêts.
zaar/kam
La formation de ces agents issus des ministères des eaux et Forêts et de l’Environnement et du Développement durable consiste, entre autres, à la pratique régulière d’exercices physiques couplée avec le parcours du combattant, le démontage et le remontage des armes, le combat, le règlement, la transmission et la conduite et la sécurité des patrouilles en forêt.
Le parrain de la promotion, Louis-André Dakoury Tabley, ministre des Eaux et Forêts a déploré la détérioration du couvert forestier de la Cote d’Ivoire qui est passé de 16 millions à deux millions d’ha, entraînant un cycle infernal qui "pourrait conduire à des drames comme la sécheresse, la désertification et la pénurie alimentaire".
« L’agent des Eaux et Forêts que vous êtes doit prendre la mesure de cette catastrophe annoncée et manifester une réelle volonté de lutter avec courage et détermination contre ce fléau pour stabiliser et si possible inverser les effets de cette déforestation sauvage », a-t-il lancé à ses filleuls, en présence des autorités administratives, parents et amis ayant effectué le déplacement.
Les agents formés par des formateurs de la police forestière comprennent des ingénieurs et des techniciens des Eaux et Forêts.
zaar/kam
