La douane ivoirienne en collaboration avec la gendarmerie nationale de Côte d’Ivoire a procédé à l’incinération le mercredi 07 décembre 2016 de plus de 40 tonnes de produits prohibés estimés à plus de 2 milliards de F CFA . Ces produits composés de médicaments ont été saisis dans le département de Guéssabo en provenance de la frontière Ouest.
Le colonel Bahin Lejeune, coordonnateur de la cellule de prévention et d’investigation du comité national de lutte contre la contrefaçon, a remercié la gendarmerie nationale de Côte d’Ivoire pour cette franche collaboration. Ajoutant que le début de l’opération de la lutte contre les contrefaçons, a aidé l’Etat dans plusieurs opérations notamment à Abobo, Adjamé et Tiassalé ». Avant de les exhorter à continuer sur cette lancée afin de pouvoir aussi traquer les pirates des CD et autres types de contrefaçons. Poursuivant, il a invité la population à éviter la consommation de ces produits pour la préservation de leur santé, demandant leur collaboration pour mettre fin à ces types d’opération. En outre, Bahin Lejeune a relevé quelques difficultés dans l’exercice de leur mission, c’est pourquoi il dira « La lutte contre la contrefaçon a besoin de moyens. Nous comptons sur l’État et des bonnes volontés pour mener à bien cette lutte afin de saisir les quantités plus importantes la prochaine fois. »
Pour sa part, Dr Touré Oumar Aimé, pharmacien à la direction des médicaments et du laboratoire par ailleurs membre du comité national de lutte contre les contrefaçons, a donné les raisons de la saisie de ces médicaments : « Ces médicaments saisis n’ont pas une autorisation de commercialisation en Côte d’Ivoire ». Rappelant les conséquences néfastes de ces médicaments sur la santé de la population, il a affirmé que l’Oms (Organisation Mondiale de la Santé) a décidé de les retirer sur le marché, cependant a-t-il déploré, la commercialisation de ces produits sur le marché. C’est pourquoi, a-t-il expliqué , « nous avons décidé de les saisir pour préserver la santé de la population. »
Ces médicaments composés d’anti-inflammatoire, de viagra, antibiotique, etc.… ont été saisis du 26 au 29 avril dernier.
Rappelons que cette opération s’est déroulée en présence du Procureur de la République auprès du tribunal de Daloa, Koné Tornon.
BP
Le colonel Bahin Lejeune, coordonnateur de la cellule de prévention et d’investigation du comité national de lutte contre la contrefaçon, a remercié la gendarmerie nationale de Côte d’Ivoire pour cette franche collaboration. Ajoutant que le début de l’opération de la lutte contre les contrefaçons, a aidé l’Etat dans plusieurs opérations notamment à Abobo, Adjamé et Tiassalé ». Avant de les exhorter à continuer sur cette lancée afin de pouvoir aussi traquer les pirates des CD et autres types de contrefaçons. Poursuivant, il a invité la population à éviter la consommation de ces produits pour la préservation de leur santé, demandant leur collaboration pour mettre fin à ces types d’opération. En outre, Bahin Lejeune a relevé quelques difficultés dans l’exercice de leur mission, c’est pourquoi il dira « La lutte contre la contrefaçon a besoin de moyens. Nous comptons sur l’État et des bonnes volontés pour mener à bien cette lutte afin de saisir les quantités plus importantes la prochaine fois. »
Pour sa part, Dr Touré Oumar Aimé, pharmacien à la direction des médicaments et du laboratoire par ailleurs membre du comité national de lutte contre les contrefaçons, a donné les raisons de la saisie de ces médicaments : « Ces médicaments saisis n’ont pas une autorisation de commercialisation en Côte d’Ivoire ». Rappelant les conséquences néfastes de ces médicaments sur la santé de la population, il a affirmé que l’Oms (Organisation Mondiale de la Santé) a décidé de les retirer sur le marché, cependant a-t-il déploré, la commercialisation de ces produits sur le marché. C’est pourquoi, a-t-il expliqué , « nous avons décidé de les saisir pour préserver la santé de la population. »
Ces médicaments composés d’anti-inflammatoire, de viagra, antibiotique, etc.… ont été saisis du 26 au 29 avril dernier.
Rappelons que cette opération s’est déroulée en présence du Procureur de la République auprès du tribunal de Daloa, Koné Tornon.
BP