Dormir sous une moustiquaire imprégnée permet d’éviter la piqure du moustique vecteur du paludisme. Se laver les mains avant de manger, nous met à l’abri des maladies comme la diarrhée. Ce sont autant de gestes simples de tous les jours qui protègent contre les maladies bien souvent mortelles chez les femmes enceintes et les tout-petits. Le ministère de la Santé et de l’hygiène publique, à travers le Programme national de santé mère-enfant (PNSME) en collaboration avec le Centre d’information et communication gouvernemental (CICG) et l’UNICEF a procédé, ce vendredi 9 décembre 2016, à Abidjan au lancement de la campagne de sensibilisation multimédia auprès de la population pour encourager des bonnes pratiques en faveur de la santé de la mère et de l’enfant, une priorité pour ces structures.
La campagne sera permanente avec pour thème : « Pour la santé de la mère et de l’enfant : adoptons des gestes simples ! » Elle vise à promouvoir la croissance et le développement du nouveau-né et de l’enfant, prévenir les maladies, la prise en charge de cas simples à domicile et inciter à recourir rapidement aux soins de santé lors des cas les plus graves.
« C’est une problématique tellement importante que nous avons besoin des médias pour la mener à bien en touchant le maximum de personnes, mêmes dans les zones les plus reculées », a souligné Rita Néné Indat, chargée de Communication au CICG. La rencontre a enregistré la présence de Mariam Fofana, du service communication du PNSME et de Marie Juliette Avoaka, Administrateur communication pour le développement de l’UNICEF.
Notons que 12 enfants meurent par heure en Côte d’Ivoire avant même leur 5ème anniversaire selon l’UNICEF et la proportion des mères qui meurent en couches ou peu après avoir donné naissance reste encore élevé le plus souvent à cause des maladies évitables par des gestes simples.
D.Tagro
La campagne sera permanente avec pour thème : « Pour la santé de la mère et de l’enfant : adoptons des gestes simples ! » Elle vise à promouvoir la croissance et le développement du nouveau-né et de l’enfant, prévenir les maladies, la prise en charge de cas simples à domicile et inciter à recourir rapidement aux soins de santé lors des cas les plus graves.
« C’est une problématique tellement importante que nous avons besoin des médias pour la mener à bien en touchant le maximum de personnes, mêmes dans les zones les plus reculées », a souligné Rita Néné Indat, chargée de Communication au CICG. La rencontre a enregistré la présence de Mariam Fofana, du service communication du PNSME et de Marie Juliette Avoaka, Administrateur communication pour le développement de l’UNICEF.
Notons que 12 enfants meurent par heure en Côte d’Ivoire avant même leur 5ème anniversaire selon l’UNICEF et la proportion des mères qui meurent en couches ou peu après avoir donné naissance reste encore élevé le plus souvent à cause des maladies évitables par des gestes simples.
D.Tagro