Tabou- Le chef du bureau de l'Association de soutien à l'autopromotion sanitaire urbaine (ASAPSU) de Tabou, Hiéla Ouattara, a indiqué, lors de la "Journée de l'apprenant", que le centre de formation professionnelle (CFP) de Tabou est "le moteur" de la réintégration locale parce qu'il a permis, depuis son ouverture en 2013, de réinsérer plus de 800 ex-refugiés de la crise postélectorale dans le tissu social.
"Le centre de formation professionnelle de Tabou a déjà assuré la formation des ex-réfugiés ivoiriens venus du Libéria, dans le cadre du rapatriement volontaire, dans les filières menuiserie, couture, coiffure, plomberie, électricité-bâtiment, construction métallique, informatique, comptabilité et gestion coopérative", a expliqué M. Ouattara vendredi, ajoutant qu’après toutes ces formations gratuites pendant neuf mois, les ex-réfugiés reçoivent des kits d'installation et exercent librement leurs activités afin de se prendre en charge et de se refaire une santé financière.
"Les communautés hôtes et les réfugiés libériens qui sont restés à Tabou sont également concernés par ces modules de formation", a-t-il souligné, avant de préciser que "le financement et l'équipement du CFP de Tabou sont assurés par le HCR".
La journée de l'apprenant qui a eu pour cadre le centre de transit de Tabou, a été marquée par une distribution de kits d'installation à la promotion sortante (2015-2016) composée de 312 apprenants.
La cérémonie a vu la présence des responsables locaux du HCR et était présidée par le sous-préfet de Tabou, Arsène Katou Koffi, qui a affirmé que le centre de formation professionnelle de Tabou, le seul du département, "est un appui considérable à l'État ivoirien" dans sa politique d'emplois jeunes.
BB/kp
"Le centre de formation professionnelle de Tabou a déjà assuré la formation des ex-réfugiés ivoiriens venus du Libéria, dans le cadre du rapatriement volontaire, dans les filières menuiserie, couture, coiffure, plomberie, électricité-bâtiment, construction métallique, informatique, comptabilité et gestion coopérative", a expliqué M. Ouattara vendredi, ajoutant qu’après toutes ces formations gratuites pendant neuf mois, les ex-réfugiés reçoivent des kits d'installation et exercent librement leurs activités afin de se prendre en charge et de se refaire une santé financière.
"Les communautés hôtes et les réfugiés libériens qui sont restés à Tabou sont également concernés par ces modules de formation", a-t-il souligné, avant de préciser que "le financement et l'équipement du CFP de Tabou sont assurés par le HCR".
La journée de l'apprenant qui a eu pour cadre le centre de transit de Tabou, a été marquée par une distribution de kits d'installation à la promotion sortante (2015-2016) composée de 312 apprenants.
La cérémonie a vu la présence des responsables locaux du HCR et était présidée par le sous-préfet de Tabou, Arsène Katou Koffi, qui a affirmé que le centre de formation professionnelle de Tabou, le seul du département, "est un appui considérable à l'État ivoirien" dans sa politique d'emplois jeunes.
BB/kp