Korhogo – L’Association ivoirienne pour le progrès (AIP, Ong) veut susciter plus d’engagement de la part des acteurs clés à savoir des leaders communautaires, politiques, responsables d’administration et des hommes de médias dans la lutte communautaire contre le paludisme.
Samedi, elle a réuni à cet effet une dizaine d’entre eux à la cathédrale St Jean-Baptiste de Korhogo pour leur parler de l’intérêt de son projet afin qu’ils s’en imprègnent et se l’approprient pour sa bonne marche.
Ong luttant contre les inégalités, la pauvreté et la maladie, l’AIP a été choisie pour la mise en œuvre du volet communautaire de la lutte contre le paludisme dans les régions sanitaires de Gbêkê, du Hambol, du Poro, de la Bagoué et du Tchologo, du Bounkani et du Gontougo.
Selon son coordonnateur pour le Poro, la Bagoué et le Tchologo, Coulibaly Kafana, les leaders communautaires, politiques, administratifs, et hommes de médias peuvent efficacement contribuer à la lutte contre le paludisme en suscitant les changements positifs de comportements des membres de leurs communautés grâce à leur influence.
Leurs actions consisteront à profiter des occasions qui leur seront offertes pour relayer les messages de sensibilisation et les méthodes de lutte contre le paludisme aux populations, notamment lors des visites à domicile, des causeries de groupes ou des discussions interpersonnelles.
Le paludisme reste la première cause de mortalité en Côte d’Ivoire, malgré de nombreuses dispositions prises par l’Etat pour l’éradiquer, a fait remarquer M. Coulibaly. Il est également cause de morbidité et justifie principalement l’absentéisme à l’école et au travail, a-t-il ajouté.
Dans le district sanitaire de Korhogo, le paludisme est la première cause de consultation, a révélé un médecin, représentant le directeur départemental de la santé à la rencontre.
kaem/ask
Samedi, elle a réuni à cet effet une dizaine d’entre eux à la cathédrale St Jean-Baptiste de Korhogo pour leur parler de l’intérêt de son projet afin qu’ils s’en imprègnent et se l’approprient pour sa bonne marche.
Ong luttant contre les inégalités, la pauvreté et la maladie, l’AIP a été choisie pour la mise en œuvre du volet communautaire de la lutte contre le paludisme dans les régions sanitaires de Gbêkê, du Hambol, du Poro, de la Bagoué et du Tchologo, du Bounkani et du Gontougo.
Selon son coordonnateur pour le Poro, la Bagoué et le Tchologo, Coulibaly Kafana, les leaders communautaires, politiques, administratifs, et hommes de médias peuvent efficacement contribuer à la lutte contre le paludisme en suscitant les changements positifs de comportements des membres de leurs communautés grâce à leur influence.
Leurs actions consisteront à profiter des occasions qui leur seront offertes pour relayer les messages de sensibilisation et les méthodes de lutte contre le paludisme aux populations, notamment lors des visites à domicile, des causeries de groupes ou des discussions interpersonnelles.
Le paludisme reste la première cause de mortalité en Côte d’Ivoire, malgré de nombreuses dispositions prises par l’Etat pour l’éradiquer, a fait remarquer M. Coulibaly. Il est également cause de morbidité et justifie principalement l’absentéisme à l’école et au travail, a-t-il ajouté.
Dans le district sanitaire de Korhogo, le paludisme est la première cause de consultation, a révélé un médecin, représentant le directeur départemental de la santé à la rencontre.
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