Le Coordonnateur Général du Regroupement des acteurs ivoiriens des droits humains (RAIDH), Sindou Bamba a regretté mercredi, l’expulsion collective par l’Algérie de plus de 1400 migrants ouest-africains appelant ce pays « au respect des engagements pris vis-à-vis des conventions internationales ».
« Ce n’est pas normal. Pour nous, c’est un véritable regret surtout que les personnes expulsées sont des africains .L’Algérie étant Etat-partie de certaines conventions ne devrait pas se permettre d’expulser surtout pour ceux qui étaient en règle» , a dénoncé le coordonnateur du RAIDH dans un entretien avec APA.
M. Bamba soutient qu’un « pays qui a des lois et qui accepte de recevoir des migrants ne peux pas se permettre de les expulser comme cela ».
« L’expulsion obéit à des règles, des principes. Si un migrant n’est pas dans les règles de l’art , on peut l’expulser mais celui qui n’a pas commis une faute, n’a pas violé les lois ne peux pas être expulsé », a poursuivi ce défenseur de Droits de l’Homme qui a relevé « que la convention de 1951 relative au statut des réfugiés demande à ce que toute personne réfugiée dans un Etat ne peux pas être expulsée sans qu’elle n’ait commis quelque chose ».
Selon Sindou Bamba , « beaucoup de personnes expulsées étaient dans les règles selon les principes de la loi Algérienne ».
A en croire, le premier responsable de cette faîtière de 11 organisations qui interviennent dans le domaine des Droits de l’homme et de la démocratie, créée en janvier 2005, les personnes qui cherchent refuge dans un autre Etat aspirent à de meilleures conditions de vie.
« Les personnes qui viennent chercher refuge chez vous c’est qu’elles ont quitté des situations un peu plus compliquées, où elles sont en danger dans leur propre pays étant donné qu’elles sont acceptées en Algérie en tant que réfugiés il est important que leurs droits soient respectés », a conclu Sindou Bamba.
L’Algérie a initié il y’a quelques jours, une expulsion collective de plus de 1400 migrants ouest-africains dont une quarantaine de ressortissants ivoiriens, selon la presse nationale ivoirienne.
SY/ls/APA
« Ce n’est pas normal. Pour nous, c’est un véritable regret surtout que les personnes expulsées sont des africains .L’Algérie étant Etat-partie de certaines conventions ne devrait pas se permettre d’expulser surtout pour ceux qui étaient en règle» , a dénoncé le coordonnateur du RAIDH dans un entretien avec APA.
M. Bamba soutient qu’un « pays qui a des lois et qui accepte de recevoir des migrants ne peux pas se permettre de les expulser comme cela ».
« L’expulsion obéit à des règles, des principes. Si un migrant n’est pas dans les règles de l’art , on peut l’expulser mais celui qui n’a pas commis une faute, n’a pas violé les lois ne peux pas être expulsé », a poursuivi ce défenseur de Droits de l’Homme qui a relevé « que la convention de 1951 relative au statut des réfugiés demande à ce que toute personne réfugiée dans un Etat ne peux pas être expulsée sans qu’elle n’ait commis quelque chose ».
Selon Sindou Bamba , « beaucoup de personnes expulsées étaient dans les règles selon les principes de la loi Algérienne ».
A en croire, le premier responsable de cette faîtière de 11 organisations qui interviennent dans le domaine des Droits de l’homme et de la démocratie, créée en janvier 2005, les personnes qui cherchent refuge dans un autre Etat aspirent à de meilleures conditions de vie.
« Les personnes qui viennent chercher refuge chez vous c’est qu’elles ont quitté des situations un peu plus compliquées, où elles sont en danger dans leur propre pays étant donné qu’elles sont acceptées en Algérie en tant que réfugiés il est important que leurs droits soient respectés », a conclu Sindou Bamba.
L’Algérie a initié il y’a quelques jours, une expulsion collective de plus de 1400 migrants ouest-africains dont une quarantaine de ressortissants ivoiriens, selon la presse nationale ivoirienne.
SY/ls/APA