L’Organisation mondiale de la santé (OMS), dans son rapport 2016, sur le paludisme dans le monde salue la nette amélioration de l’accès aux dispositifs contre cette maladie par les populations les plus vulnérables en Afrique subsaharienne, une situation dont se félicite l’Alliance des dirigeants africains contre le paludisme (ALMA) dans un communiqué transmis, jeudi, à l’AIP.
Commentant ce rapport, le secrétaire-exécutif de l’Alliance des dirigeants africains contre le paludisme (ALMA), Joy Phumaphi, relève que l’accès aux dispositifs pour la lutte contre le paludisme a rapidement augmenté pour les populations les plus vulnérables, notamment les enfants et les femmes enceintes en Afrique subsaharienne.
Cinquante deux pour cent d’enfants atteints de fièvre dans les 22 pays de l’Afrique subsaharienne ont reçu des soins dans les établissements publics contre 24 pour cent en 2010, indique le rapport. Dans 36 pays du continent, le nombre de femmes enceintes ayant bénéficié de traitements préventifs a été multiplié par cinq, et plus de 57 pour cent des personnes d’Afrique sub-saharienne vivent sous des moustiquaires imprégnées ou utilisent des insecticides résiduels, précise en outre le document.
Ce rapport annuel, qui trace le progrès et les tendances mondiales dans le contrôle et l’élimination du paludisme, démontre également que l’accélération des efforts est nécessaire pour accomplir un certain nombre des cibles clés avant 2020.
L’Afrique subsaharienne représente toujours une part considérable et disproportionnée de la charge mondiale du paludisme, soit 92% en 2015, rappelle-t-on.
nmfa/tm
Commentant ce rapport, le secrétaire-exécutif de l’Alliance des dirigeants africains contre le paludisme (ALMA), Joy Phumaphi, relève que l’accès aux dispositifs pour la lutte contre le paludisme a rapidement augmenté pour les populations les plus vulnérables, notamment les enfants et les femmes enceintes en Afrique subsaharienne.
Cinquante deux pour cent d’enfants atteints de fièvre dans les 22 pays de l’Afrique subsaharienne ont reçu des soins dans les établissements publics contre 24 pour cent en 2010, indique le rapport. Dans 36 pays du continent, le nombre de femmes enceintes ayant bénéficié de traitements préventifs a été multiplié par cinq, et plus de 57 pour cent des personnes d’Afrique sub-saharienne vivent sous des moustiquaires imprégnées ou utilisent des insecticides résiduels, précise en outre le document.
Ce rapport annuel, qui trace le progrès et les tendances mondiales dans le contrôle et l’élimination du paludisme, démontre également que l’accélération des efforts est nécessaire pour accomplir un certain nombre des cibles clés avant 2020.
L’Afrique subsaharienne représente toujours une part considérable et disproportionnée de la charge mondiale du paludisme, soit 92% en 2015, rappelle-t-on.
nmfa/tm