Bouaflé – La jeunesse de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué), à l’occasion de la fête du nouvel an, se partage entre le recueillement dans la prière, pour certains, et les virées nocturnes dans les bars et autres lieux de plaisir, pour d’autres.
Interrogé par l’AIP, Koffi Constant, 21 ans, élève dans un établissement secondaire de la ville, a fait savoir qu’il se rendra à la veillée de prière qu’organise son église, dans la nuit de la Saint-sylvestre, avant d’aller partager le déjeuner chez un de ses amis le 1er janvier.
Quant à Irié Bi Théophile, 19 ans, également élève, il préférera rester chez lui, après le culte de minuit pour réfléchir sur sa vie et ce qu’il fera après le diplôme du baccalauréat qui doit décrocher en 2017. "Je dois tout faire pour avoir le Bac ensuite m’arranger pour m’inscrire dans une grande école, c’est ce qui me préoccupe", a-t-il affirmé dans un long soupir à l’issue de la question de l’AIP.
Pour Traoré, vendeur d’articles divers, la fête doit être "une réussite pour moi, de la passer en étant en contact avec Dieu pour aborder la nouvelle année en toute tranquillité et avec confiance".
En revanche, Jonas K, 26 ans, planteur dans un village environnant de Bouaflé, la fête est l’occasion de s’adonner à l’alcool et d’excéder dans la nourriture pour exprimer sa joie d’être encore vivant le premier jour de l’an. "Cette fête arrive une seule fois dans l’année, il faut donc en profiter", affirme-t-il en déposant des bouteilles d’alcool sur le porte-bagages de sa moto en direction de son village.
Pour Faustin K, 29 ans, célibataire, il faut se laisser aller pendant ces deux jours en parcourant nuitamment les bars de la commune pour boire l’alcool et chercher de nouvelles conquêtes féminines.
La nuit de la Saint-Sylvestre s’annonce chaude à Bouaflé avec l’inauguration de quelques maquis et bars-restaurants devant attirer de nombreux jeunes voulant se distraire, contrairement à d’autres qui ont décidé de se diriger vers les lieux de culte, l’endroit où ils feront le point de leur vie, après une année écoulée, note-t-on.
Zaar/kp
Interrogé par l’AIP, Koffi Constant, 21 ans, élève dans un établissement secondaire de la ville, a fait savoir qu’il se rendra à la veillée de prière qu’organise son église, dans la nuit de la Saint-sylvestre, avant d’aller partager le déjeuner chez un de ses amis le 1er janvier.
Quant à Irié Bi Théophile, 19 ans, également élève, il préférera rester chez lui, après le culte de minuit pour réfléchir sur sa vie et ce qu’il fera après le diplôme du baccalauréat qui doit décrocher en 2017. "Je dois tout faire pour avoir le Bac ensuite m’arranger pour m’inscrire dans une grande école, c’est ce qui me préoccupe", a-t-il affirmé dans un long soupir à l’issue de la question de l’AIP.
Pour Traoré, vendeur d’articles divers, la fête doit être "une réussite pour moi, de la passer en étant en contact avec Dieu pour aborder la nouvelle année en toute tranquillité et avec confiance".
En revanche, Jonas K, 26 ans, planteur dans un village environnant de Bouaflé, la fête est l’occasion de s’adonner à l’alcool et d’excéder dans la nourriture pour exprimer sa joie d’être encore vivant le premier jour de l’an. "Cette fête arrive une seule fois dans l’année, il faut donc en profiter", affirme-t-il en déposant des bouteilles d’alcool sur le porte-bagages de sa moto en direction de son village.
Pour Faustin K, 29 ans, célibataire, il faut se laisser aller pendant ces deux jours en parcourant nuitamment les bars de la commune pour boire l’alcool et chercher de nouvelles conquêtes féminines.
La nuit de la Saint-Sylvestre s’annonce chaude à Bouaflé avec l’inauguration de quelques maquis et bars-restaurants devant attirer de nombreux jeunes voulant se distraire, contrairement à d’autres qui ont décidé de se diriger vers les lieux de culte, l’endroit où ils feront le point de leur vie, après une année écoulée, note-t-on.
Zaar/kp