Séguéla - Fanny Ibrahim, la cinquantaine, et sa concubine Fanny Fatou ont été retrouvés morts dans la nuit de vendredi à samedi par leur fils alors qu’ils s’étaient ensemble rendus en brousse, sur insistance de l’homme.
‘’Il a dit qu’il devait suivre les traces d’un animal qu’il avait blessé la nuit et que maman devait l’accompagner pour ramasser du fagot’’, a relaté le fils Fanny Moussa qui, ne les voyant pas revenir à la nuit tombée, a enfourché la motocyclette de son père pour aller à leur recherche.
C’est lui qui a fait la macabre découverte avant d’alerter les éléments de la brigade de gendarmerie de Séguéla.
Selon certaines sources, le mari serait à la base de cette tragédie. Accusant sa femme de l’avoir fait cocu, il l’avait renvoyée du foyer avant que les parents de celle-ci ne décident, il y a cinq mois, qu’elle revienne auprès de son concubin. Et c’est pour se venger qu’il aurait commis ce double homicide à l’aide d’un fusil artisanal de calibre 12.
Pourtant, la veille, rien ne laissait présager d’une telle issue fatidique. Le vigile, en poste à l'usine d’égrenage de la Compagnie ivoirienne de développement du textile (CIDT), avait fait avec son collègue, le programme de garde pour le 31 décembre.
Les dépouilles ont été enterrées sur place, a-t-on appris. Le couple Fanny part en laissant derrière lui sept enfants dont quatre filles.
(AIP)
gp/kkp/cmas
‘’Il a dit qu’il devait suivre les traces d’un animal qu’il avait blessé la nuit et que maman devait l’accompagner pour ramasser du fagot’’, a relaté le fils Fanny Moussa qui, ne les voyant pas revenir à la nuit tombée, a enfourché la motocyclette de son père pour aller à leur recherche.
C’est lui qui a fait la macabre découverte avant d’alerter les éléments de la brigade de gendarmerie de Séguéla.
Selon certaines sources, le mari serait à la base de cette tragédie. Accusant sa femme de l’avoir fait cocu, il l’avait renvoyée du foyer avant que les parents de celle-ci ne décident, il y a cinq mois, qu’elle revienne auprès de son concubin. Et c’est pour se venger qu’il aurait commis ce double homicide à l’aide d’un fusil artisanal de calibre 12.
Pourtant, la veille, rien ne laissait présager d’une telle issue fatidique. Le vigile, en poste à l'usine d’égrenage de la Compagnie ivoirienne de développement du textile (CIDT), avait fait avec son collègue, le programme de garde pour le 31 décembre.
Les dépouilles ont été enterrées sur place, a-t-on appris. Le couple Fanny part en laissant derrière lui sept enfants dont quatre filles.
(AIP)
gp/kkp/cmas