Abidjan – Abidjan, la capitale économique ivoirienne, a abrité, jeudi au Palais de la culture de Treichville, la cérémonie de lancement de la 25ème édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), vitrine de la création cinématographique africaine, édition dont la Côte d’ Ivoire est l’invitée d’honneur.
Le lancement de cette édition sur les bords de la lagune Ebrié marque le début de la mise en œuvre de la coopération culturelle entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, conformément au volet culturel du Traité d’amitié et de coopération entre les deux pays, ont souligné l’ambassadeur du Burkina Faso en Côte d’Ivoire, Mahamadou Zongo, le ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme du Burkina, Tahirou Barry, et son homologue ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman.
La Côte d’Ivoire entend montrer à cette occasion « la richesse et la diversité de son patrimoine cinématographique », a promis Maurice Bandaman. Pour sa part, Tahirou Barry s’est engagé à « accueillir fraternellement » les cinéastes ivoiriens et africains pour « célébrer le cinéma africain ».
Au total, 20 films de fiction en provenance de 15 pays, dont deux de la Côte d’Ivoire, sont en compétition pour le prix Yénnéga d’or (20 millions de FCFA) dans la catégorie "Long métrage" de la compétition officielle, à côté des prix sectoriels de "Court métrage", "Documentaire", "Séries télé" et de "Films des écoles africaines de cinéma" et autres prix spéciaux.
Les principales innovations de cette édition, consacrée au thème « Formation et métiers du cinéma », concernent la transformation du Marché international du cinéma et de la télévision africains (MICA) en un véritable forum de rencontres d’affaires, et un "Village Akwaba" consacré à la Côte d’Ivoire.
aaa/tm
Le lancement de cette édition sur les bords de la lagune Ebrié marque le début de la mise en œuvre de la coopération culturelle entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, conformément au volet culturel du Traité d’amitié et de coopération entre les deux pays, ont souligné l’ambassadeur du Burkina Faso en Côte d’Ivoire, Mahamadou Zongo, le ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme du Burkina, Tahirou Barry, et son homologue ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman.
La Côte d’Ivoire entend montrer à cette occasion « la richesse et la diversité de son patrimoine cinématographique », a promis Maurice Bandaman. Pour sa part, Tahirou Barry s’est engagé à « accueillir fraternellement » les cinéastes ivoiriens et africains pour « célébrer le cinéma africain ».
Au total, 20 films de fiction en provenance de 15 pays, dont deux de la Côte d’Ivoire, sont en compétition pour le prix Yénnéga d’or (20 millions de FCFA) dans la catégorie "Long métrage" de la compétition officielle, à côté des prix sectoriels de "Court métrage", "Documentaire", "Séries télé" et de "Films des écoles africaines de cinéma" et autres prix spéciaux.
Les principales innovations de cette édition, consacrée au thème « Formation et métiers du cinéma », concernent la transformation du Marché international du cinéma et de la télévision africains (MICA) en un véritable forum de rencontres d’affaires, et un "Village Akwaba" consacré à la Côte d’Ivoire.
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