Bouaké - Commerces, marchés et corridors fermés, circulation timide, Bouaké, deuxième ville de la Côte d’Ivoire, est paralysée depuis ce vendredi matin, en raison de la mutinerie militaire en cours dans la localité, a constaté l’AIP.
Du quartier Ahougnanssou (ouest) à Kennedy (Sud), en passant par le Commerce (centre) et Beau-Fort (nord), les commerces sont restés fermés, ainsi que tous les corridors de la ville. Des militaires, brandissant des armes lourdes, paradent dans la ville.
Dans les gares, les transporteurs ont préféré garer leurs véhicules de transport en commun. Toutefois, l’on constate une circulation timide dans la ville, avec la circulation de quelques taxis, à part les véhicules militaires.
Une mutinerie militaire est en cours à Bouaké depuis la nuit de jeudi à vendredi. Les premiers tirs ont été entendus aux environs de 1h30 du matin. Pour l’heure, les soldats en question n’ont pas officiellement donné les raisons de leur soulèvement.
De sources concordantes, d’autres régions militaires du pays seraient en voie d’être gagnées par ce mouvement d’humeur.
La ville de Bouaké avait connu, en novembre 2014, une mutinerie de soldats qui réclamaient de meilleures soldes et l'avancement de milliers d'entre eux, conformément aux accords de Ouagadougou de 2007. Ce mouvement avait pris fin avec l’engagement du gouvernement à régler ces problèmes dans un délai de deux mois.
nbf/akn/tm
Du quartier Ahougnanssou (ouest) à Kennedy (Sud), en passant par le Commerce (centre) et Beau-Fort (nord), les commerces sont restés fermés, ainsi que tous les corridors de la ville. Des militaires, brandissant des armes lourdes, paradent dans la ville.
Dans les gares, les transporteurs ont préféré garer leurs véhicules de transport en commun. Toutefois, l’on constate une circulation timide dans la ville, avec la circulation de quelques taxis, à part les véhicules militaires.
Une mutinerie militaire est en cours à Bouaké depuis la nuit de jeudi à vendredi. Les premiers tirs ont été entendus aux environs de 1h30 du matin. Pour l’heure, les soldats en question n’ont pas officiellement donné les raisons de leur soulèvement.
De sources concordantes, d’autres régions militaires du pays seraient en voie d’être gagnées par ce mouvement d’humeur.
La ville de Bouaké avait connu, en novembre 2014, une mutinerie de soldats qui réclamaient de meilleures soldes et l'avancement de milliers d'entre eux, conformément aux accords de Ouagadougou de 2007. Ce mouvement avait pris fin avec l’engagement du gouvernement à régler ces problèmes dans un délai de deux mois.
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