Des militaires réclamant le paiement de primes, entre autres revendications, ont lancé vendredi un mouvement de contestation à Bouaké et dans plusieurs autres villes de Côte d'Ivoire. Le gouvernement a lancé un appel au calme.
Des mouvements d’humeur dans plusieurs villes
C’est à Bouaké, deuxième ville du pays, que la contestation a démarré. « Dans la nuit du 5 au 6 janvier, aux environs de 0h30, un groupe de militaires a fait irruption à l’état-major de la 3ème région militaire en faisant usage d’armes à feu », a déclaré dans un communiqué le ministère de la Défense. Un ex-rebelle présent à Bouaké a déclaré à Jeune Afrique : « Ils ont effectué des tirs sporadiques en l’air à l’arme légère, non lourde, au niveau du 3e bataillon. Un groupe... suite de l'article sur Jeune Afrique
Des mouvements d’humeur dans plusieurs villes
C’est à Bouaké, deuxième ville du pays, que la contestation a démarré. « Dans la nuit du 5 au 6 janvier, aux environs de 0h30, un groupe de militaires a fait irruption à l’état-major de la 3ème région militaire en faisant usage d’armes à feu », a déclaré dans un communiqué le ministère de la Défense. Un ex-rebelle présent à Bouaké a déclaré à Jeune Afrique : « Ils ont effectué des tirs sporadiques en l’air à l’arme légère, non lourde, au niveau du 3e bataillon. Un groupe... suite de l'article sur Jeune Afrique