Vendredi 6 janvier, des soldats ont bloqué entièrement la ville de Bouaké, dans le nord de la Côte d’Ivoire, ainsi que d’autres agglomérations, pour réclamer primes et augmentations de salaire. Notre envoyée spéciale était avec eux. Retour sur une journée de tensions.
« Aucun véhicule ne rentre ni ne sort aujourd’hui », disent les hommes en treillis positionnés à l’entrée sud de Bouaké. Assis à l’ombre sur le bas côté, ils sont une vingtaine, en ce début d’après-midi à bloquer l’accès à la deuxième ville de Cote d’Ivoire et à forcer camions, cars et voitures à s’entasser devant un barrage de fortune, fait de pneus et matériaux en tout genre. Un barrage ou plutôt trois successifs devant lesquels il faut à chaque fois âprement négocier... suite de l'article sur Jeune Afrique
« Aucun véhicule ne rentre ni ne sort aujourd’hui », disent les hommes en treillis positionnés à l’entrée sud de Bouaké. Assis à l’ombre sur le bas côté, ils sont une vingtaine, en ce début d’après-midi à bloquer l’accès à la deuxième ville de Cote d’Ivoire et à forcer camions, cars et voitures à s’entasser devant un barrage de fortune, fait de pneus et matériaux en tout genre. Un barrage ou plutôt trois successifs devant lesquels il faut à chaque fois âprement négocier... suite de l'article sur Jeune Afrique