"Abidjan est le plus doux au monde", cette expression en passe de devenir un slogan sied à la capitale économique ivoirienne.
En dépit de la grogne des militaires qui pour se faire entendre ont tiré en l’air et barré l’accès à certains quartiers de la capitale, les abidjanais n’ont pas dérogé à leurs habitudes. Les supermarchés, les commerces, les banques et les points chauds de la capitale ont continué de grouiller de monde.
Excepté la zone du camp militaire d’Akouédo et ses environs, où des coups de feux se sont fait attendre et des barricades érigés le reste de la capitale économique ivoirienne continuait son train-train quotidien.
le plateau, le quartier d’affaires d’Abidjan comme à son habitude les week-ends est resté calme. Le ballet des cortèges ministériels pour le Conseil des ministres extraordinaires prévu ce samedi à brisé ce silence. Les restaurant huppés en zone 4, les maquis de Marcory et Yopougon ont maintenu leur ambiance habituelle avec une clientèle colorée. Le transport n’a nullement été pertubé en dehors de la zone d’Akouédo.
S’il est vrai que le mouvement d’humeur des militaires à rappelé des vieux démons des différentes crises qu’à connu le pays, force et de reconnaître que son impact n’a pas eu l’ampleur connue par les crises précédentes.
Elisée B.
En dépit de la grogne des militaires qui pour se faire entendre ont tiré en l’air et barré l’accès à certains quartiers de la capitale, les abidjanais n’ont pas dérogé à leurs habitudes. Les supermarchés, les commerces, les banques et les points chauds de la capitale ont continué de grouiller de monde.
Excepté la zone du camp militaire d’Akouédo et ses environs, où des coups de feux se sont fait attendre et des barricades érigés le reste de la capitale économique ivoirienne continuait son train-train quotidien.
le plateau, le quartier d’affaires d’Abidjan comme à son habitude les week-ends est resté calme. Le ballet des cortèges ministériels pour le Conseil des ministres extraordinaires prévu ce samedi à brisé ce silence. Les restaurant huppés en zone 4, les maquis de Marcory et Yopougon ont maintenu leur ambiance habituelle avec une clientèle colorée. Le transport n’a nullement été pertubé en dehors de la zone d’Akouédo.
S’il est vrai que le mouvement d’humeur des militaires à rappelé des vieux démons des différentes crises qu’à connu le pays, force et de reconnaître que son impact n’a pas eu l’ampleur connue par les crises précédentes.
Elisée B.