Ferkessédougou - Les activités ont totalement repris à Ferkessédougou (Nord, région du Tchologo), après le discours du Président Alassane Ouattara, a constaté l'AIP, dimanche, dans la localité.
"Des cars ont démarré hier nuit même", a assuré M. Sadjo, chef d'une gare routière où étaient bloqués une centaine de voyageurs en provenance du Mali, suite aux mouvements d'humeur des soldats mutins à Bouaké.
Selon des responsables de cette gare routière assurant la desserte sur la route internationale entre le Mali et la Côte d'Ivoire, 12 cars en provenance du Mali qui étaient en stationnement dans leurs différentes gares dans la région du Tchologo ont pu quitter Ferkessédougou dimanche matin.
En ville comme dans les commerces, les activités ont repris et Ferkessédougou a retrouvé son ambiance habituelle. Le marché a repris ses activités, idem pour les magasins et les supermarchés.
"Hier, j'ai acheté l'essence au double du prix avec des revendeurs. Aujourd'hui, avec la reprise des activités des stations d'essence, j'ai pu avoir le carburant au tarif normal", a fait savoir à l’AIP, M. Koné Lanzeni, un motocycliste.
Les agents des forces de sécurité ont repris le travail, les gens circulent sans peur.
"Le discours du Président a permis de décrisper l'atmosphère, Dieu merci ! On était vraiment dans la panique, nous avions pensé à une rébellion quand nous avons entendu des tirs hier matin", a déclaré M. Yéo Dramane, un commerçant.
Samedi, à la suite de tirs de soldats ayant fait irruption dans la ville, prise de panique, la population de Ferkessédougou avait déserté les rues et les commerces, toute chose qui a ralenti en moins de 24 heures, les activités économiques dans la localité.
(AIP)
ti/cmas
"Des cars ont démarré hier nuit même", a assuré M. Sadjo, chef d'une gare routière où étaient bloqués une centaine de voyageurs en provenance du Mali, suite aux mouvements d'humeur des soldats mutins à Bouaké.
Selon des responsables de cette gare routière assurant la desserte sur la route internationale entre le Mali et la Côte d'Ivoire, 12 cars en provenance du Mali qui étaient en stationnement dans leurs différentes gares dans la région du Tchologo ont pu quitter Ferkessédougou dimanche matin.
En ville comme dans les commerces, les activités ont repris et Ferkessédougou a retrouvé son ambiance habituelle. Le marché a repris ses activités, idem pour les magasins et les supermarchés.
"Hier, j'ai acheté l'essence au double du prix avec des revendeurs. Aujourd'hui, avec la reprise des activités des stations d'essence, j'ai pu avoir le carburant au tarif normal", a fait savoir à l’AIP, M. Koné Lanzeni, un motocycliste.
Les agents des forces de sécurité ont repris le travail, les gens circulent sans peur.
"Le discours du Président a permis de décrisper l'atmosphère, Dieu merci ! On était vraiment dans la panique, nous avions pensé à une rébellion quand nous avons entendu des tirs hier matin", a déclaré M. Yéo Dramane, un commerçant.
Samedi, à la suite de tirs de soldats ayant fait irruption dans la ville, prise de panique, la population de Ferkessédougou avait déserté les rues et les commerces, toute chose qui a ralenti en moins de 24 heures, les activités économiques dans la localité.
(AIP)
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