Daoukro - La vie a repris très rapidement son cours normal après l’intervention du Président de la République Alassane Ouattara, un peu plus de 24 heures après le soulèvement des militaires dans plusieurs villes du pays.
Dans une adresse faite samedi nuit à l’issue d’un conseil des ministres extraordinaire, le chef de l’Etat a promis de prendre en compte tous les points de revendications des soldats mutins qui réclament une prime, l’amélioration de leurs conditions de vie, entre autres.
Les minutes qui ont suivi, les populations de Daoukro ont commencé à se faire voir dans les rues. « C’est ce qu’on attendait de notre Président », s’est réjoui un habitant.
Après le déclenchement de la mutinerie à Bouaké, vendredi, la ville de Daoukro a été également paralysée. Il a suffi de quelques actions sporadiques, telles que des parades en ville, des tirs en l’air, le dressage de barrages, pour que tous les commerces, les banques et les établissements de micro finances ferment.
Pour tenter d’apaiser les esprits, le préfet Albert Akpolleh a convoqué d’urgence une rencontre avec les responsables militaires. Selon les informations recueillies, les militaires ont boudé cette rencontre parce que leurs revendications n’étaient pas encore résolues.
Ainsi, avec l’engagement pris par le Ministre auprès du Président de la République chargé de la Défense Alain Richard Donwahi face aux militaires à Bouaké et surtout le discours rassurant du Chef de l’Etat, l’apaisement tant recherché s’est rapidement installé. Les rues ont retrouvé leur animation habituelle et la quasi-totalité des commerces a rouvert dimanche à Daoukro et ailleurs, a-t-on constaté.
(AIP)
Dans une adresse faite samedi nuit à l’issue d’un conseil des ministres extraordinaire, le chef de l’Etat a promis de prendre en compte tous les points de revendications des soldats mutins qui réclament une prime, l’amélioration de leurs conditions de vie, entre autres.
Les minutes qui ont suivi, les populations de Daoukro ont commencé à se faire voir dans les rues. « C’est ce qu’on attendait de notre Président », s’est réjoui un habitant.
Après le déclenchement de la mutinerie à Bouaké, vendredi, la ville de Daoukro a été également paralysée. Il a suffi de quelques actions sporadiques, telles que des parades en ville, des tirs en l’air, le dressage de barrages, pour que tous les commerces, les banques et les établissements de micro finances ferment.
Pour tenter d’apaiser les esprits, le préfet Albert Akpolleh a convoqué d’urgence une rencontre avec les responsables militaires. Selon les informations recueillies, les militaires ont boudé cette rencontre parce que leurs revendications n’étaient pas encore résolues.
Ainsi, avec l’engagement pris par le Ministre auprès du Président de la République chargé de la Défense Alain Richard Donwahi face aux militaires à Bouaké et surtout le discours rassurant du Chef de l’Etat, l’apaisement tant recherché s’est rapidement installé. Les rues ont retrouvé leur animation habituelle et la quasi-totalité des commerces a rouvert dimanche à Daoukro et ailleurs, a-t-on constaté.
(AIP)
