Oumé - Plusieurs enfants de zéro à sept ans des villages de la sous-préfecture d’Oumé ont bénéficié de soins contre la méningite, à l’occasion d’une campagne de sensibilisation contre la pneumonie organisée par l’ONG Anne-Marie Kati.
Au total 682 enfants ont été gratuitement vaccinés contre la méningite du 5 au 7 janvier, au cours de cette campagne portant notamment sur la prévention et la prise en charge des malades souffrant de pneumonie.
"Le vaccin renforce le système immunitaire de l’enfant tout en le protégeant contre des infections liées à cette maladie", a expliqué le neuropsychologue, Pr Gnondoua Koua Aimé.
Des communications ont été faites dans les villages sillonnés par des spécialistes qui ont insisté sur l’importance de l’hygiène.
"La pneumonie sévit davantage en Afrique sub-saharienne que partout ailleurs. Selon les estimations de l’ONG, en Côte d’Ivoire, elle est responsable d’environ 15 % de mortalité chez les enfants comparativement au paludisme qui est de 7%", a indiqué la présidente de l’ONG Anne-Marie Kati.
Kouadio Sogba Eliane estime que cette maladie des poumons n’est pas assez connue, d’où le sens de son combat contre ce mal qui a emporté sa fille de quatre ans en 2015.
Dans cet engagement, elle veut mieux faire connaître les symptômes qui sont, entre autres, les fortes fièvres, la toux, les douleurs abdominales, les vomissements.
"Heureusement que des vaccinations existent", se félicite-t-elle.
Dl/kp
Au total 682 enfants ont été gratuitement vaccinés contre la méningite du 5 au 7 janvier, au cours de cette campagne portant notamment sur la prévention et la prise en charge des malades souffrant de pneumonie.
"Le vaccin renforce le système immunitaire de l’enfant tout en le protégeant contre des infections liées à cette maladie", a expliqué le neuropsychologue, Pr Gnondoua Koua Aimé.
Des communications ont été faites dans les villages sillonnés par des spécialistes qui ont insisté sur l’importance de l’hygiène.
"La pneumonie sévit davantage en Afrique sub-saharienne que partout ailleurs. Selon les estimations de l’ONG, en Côte d’Ivoire, elle est responsable d’environ 15 % de mortalité chez les enfants comparativement au paludisme qui est de 7%", a indiqué la présidente de l’ONG Anne-Marie Kati.
Kouadio Sogba Eliane estime que cette maladie des poumons n’est pas assez connue, d’où le sens de son combat contre ce mal qui a emporté sa fille de quatre ans en 2015.
Dans cet engagement, elle veut mieux faire connaître les symptômes qui sont, entre autres, les fortes fièvres, la toux, les douleurs abdominales, les vomissements.
"Heureusement que des vaccinations existent", se félicite-t-elle.
Dl/kp