Il n’est jamais bon que des membres de la « Grande muette » crient publiquement leur mécontentement.
En Côte-d’Ivoire, ce nouvel épisode des 6 et 7 janvier 2017, qui vient après celui de 2014, n’a pas un caractère politique affiché, d’autant qu’il est parti de Bouaké, ancien fief d’Alassane Ouattara, et que la plupart des militaires concernés appartenaient aux Forces nouvelles, qui le soutenaient dans son conflit avec Laurent Gbagbo.
Comme c’est souvent le cas, la cause directe de ce coup d’éclat est, à la fois, le non-paiement des primes promises et la détérioration des conditions de vie et de travail des hommes de rang. Cette question du paiement des primes est récurrente en Afrique subsaharienne. Il n’est pas rare que le retour des militaires,... suite de l'article sur Jeune Afrique
En Côte-d’Ivoire, ce nouvel épisode des 6 et 7 janvier 2017, qui vient après celui de 2014, n’a pas un caractère politique affiché, d’autant qu’il est parti de Bouaké, ancien fief d’Alassane Ouattara, et que la plupart des militaires concernés appartenaient aux Forces nouvelles, qui le soutenaient dans son conflit avec Laurent Gbagbo.
Comme c’est souvent le cas, la cause directe de ce coup d’éclat est, à la fois, le non-paiement des primes promises et la détérioration des conditions de vie et de travail des hommes de rang. Cette question du paiement des primes est récurrente en Afrique subsaharienne. Il n’est pas rare que le retour des militaires,... suite de l'article sur Jeune Afrique