Bouaké - La vie a repris son cours normal à Bouaké (335 km au nord d’Abidjan) et les populations vaquent à leurs occupations après la mutinerie des soldats les 6 et 7 janvier qui a secoué la ville, toutefois les établissements bancaires restent fermés, a constaté vendredi l’AIP.
Les marchés grouillent de monde, la circulation redevenue normale. Les boutiques et les maquis ont repris du service accueillant la clientèle qui espère voir cette situation perdurer.
« Notre souhait, c’est de voir les négociations aboutir pour qu'une solution définitive soit trouvée », clame la majorité des populations locales.
Des jeunes mutins avaient violemment protesté, il y a une semaine, dans la plupart des villes de l’intérieur pour réclamer des meilleures conditions de vie dans les casernes, l’amélioration de leurs salaires et le paiement de primes.
Après une première rencontre, le ministre délégué auprès du président de la République, chargé de la Défense Alain-Richard Donwahi, est attendu ce vendredi au centre culturel Jacques Aka de la ville pour apporter une réponse aux revendications des soldats mécontents.
nam/akn/kp
Les marchés grouillent de monde, la circulation redevenue normale. Les boutiques et les maquis ont repris du service accueillant la clientèle qui espère voir cette situation perdurer.
« Notre souhait, c’est de voir les négociations aboutir pour qu'une solution définitive soit trouvée », clame la majorité des populations locales.
Des jeunes mutins avaient violemment protesté, il y a une semaine, dans la plupart des villes de l’intérieur pour réclamer des meilleures conditions de vie dans les casernes, l’amélioration de leurs salaires et le paiement de primes.
Après une première rencontre, le ministre délégué auprès du président de la République, chargé de la Défense Alain-Richard Donwahi, est attendu ce vendredi au centre culturel Jacques Aka de la ville pour apporter une réponse aux revendications des soldats mécontents.
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