Près de 300 personnes, rassemblées au rond-point de la Cathédrale de Bouaké (Centre ivoirien) manifestaient vendredi vers 11H30 (GMT) contre les soldats qui s'étaient mutinés les 6 et 7 janvier dans la ville, en prélude à une rencontre entre les soldats et le gouvernement.
Ces manifestants, dont une première vague a été dispersée par des tirs en l’air, scandaient "libérez Bouaké".
Les 6 et 7 janvier, un mouvement d’humeur est parti de Bouaké (ex-fief de l’ancienne rébellion des Forces nouvelles) avant de s’étendre à plusieurs autres villes de la Côte d’Ivoire dont Abidjan.
La rencontre entre les soldats et le ministre délégué à la défense, Alain Donwahi,est la deuxième après une première tenue samedi à Bouaké à l’issue de laquelle, un accord a été trouvé entre le ministre délégué à la défense Alain Donwahi et les soldats.
Le président ivoirien, Alassane Ouattara avait donné son "accord pour la prise en compte" de deux revendications des mutins sur quatre, notamment celles relatives aux primes et à l'amélioration des conditions de vie et de travail des soldats.
Fermés jeudi après "des tirs sporadiques en l’air", les magasins, boutiques et stations-services ont rouvert mais les banques sont restées fermées au quartier commerce, où se trouve le centre culturel Jacques Aka, lieu de la rencontre.
EFI
Ces manifestants, dont une première vague a été dispersée par des tirs en l’air, scandaient "libérez Bouaké".
Les 6 et 7 janvier, un mouvement d’humeur est parti de Bouaké (ex-fief de l’ancienne rébellion des Forces nouvelles) avant de s’étendre à plusieurs autres villes de la Côte d’Ivoire dont Abidjan.
La rencontre entre les soldats et le ministre délégué à la défense, Alain Donwahi,est la deuxième après une première tenue samedi à Bouaké à l’issue de laquelle, un accord a été trouvé entre le ministre délégué à la défense Alain Donwahi et les soldats.
Le président ivoirien, Alassane Ouattara avait donné son "accord pour la prise en compte" de deux revendications des mutins sur quatre, notamment celles relatives aux primes et à l'amélioration des conditions de vie et de travail des soldats.
Fermés jeudi après "des tirs sporadiques en l’air", les magasins, boutiques et stations-services ont rouvert mais les banques sont restées fermées au quartier commerce, où se trouve le centre culturel Jacques Aka, lieu de la rencontre.
EFI