On en sait un peu plus sur la raison des bruits de bottes dans la capitale économique ivoirienne. De sources concordantes, les mutins de Yamoussoukro exigent la prise en compte de tous les corps d’armée (Gendarmes, Policiers et militaires) ivoiriens dans le paiement des primes. Les discussions sont en cours à Zambakro avec Augustin Thiam, Gouverneur du district de Yamoussoukro.
Le Gouverneur est depuis ce mardi matin à la tête d’une délégation pour échanger avec les mutins.
La ville est en ébullition depuis le lever du jour. des militaires de l’Écoles des forces armées (EFA) de Zambakro, les gendarmes de la 6ème légion de gendarmerie de Yamoussoukro et la police manifestent pour réclamer leur part des primes reversées lundi aux mutins ayant violemment manifesté la semaine dernière à Bouaké. En effet, après un début de paiement des primes, hier après-midi, à une partie des soldats ivoiriens qui se sont mutinés début janvier à Bouaké, d’autres soldats réclament leurs parts du gain.
Selon des sources militaires, bien introduites, ce mouvement concernerait 14600 corps habillés frustrés qui revendiqueraient une manne financière de 100 milliards 800 millions F CFA au président de la République Alassane Ouattara, à l’instar de leurs frères d’armes contentés, au titre des efforts de guerre de 2000, 2002, 2004 et 2011.
D.Tagro
Le Gouverneur est depuis ce mardi matin à la tête d’une délégation pour échanger avec les mutins.
La ville est en ébullition depuis le lever du jour. des militaires de l’Écoles des forces armées (EFA) de Zambakro, les gendarmes de la 6ème légion de gendarmerie de Yamoussoukro et la police manifestent pour réclamer leur part des primes reversées lundi aux mutins ayant violemment manifesté la semaine dernière à Bouaké. En effet, après un début de paiement des primes, hier après-midi, à une partie des soldats ivoiriens qui se sont mutinés début janvier à Bouaké, d’autres soldats réclament leurs parts du gain.
Selon des sources militaires, bien introduites, ce mouvement concernerait 14600 corps habillés frustrés qui revendiqueraient une manne financière de 100 milliards 800 millions F CFA au président de la République Alassane Ouattara, à l’instar de leurs frères d’armes contentés, au titre des efforts de guerre de 2000, 2002, 2004 et 2011.
D.Tagro