Bouaflé – Les coups de feu entendus aux environ de 13 h ont progressivement cessé, faisant place à un calme précaire dans les rues de la commune de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué), a constaté, mardi, l'AIP.
Les gardes pénitentiaires, auteurs de ces tirs qui ont plongé la population dans la peur, ont levé toutes les barricades aux différents points névralgiques de la ville, notamment le pont de Bouaflé débouchant sur la zone nord du pays. Par contre, les rues semblent désertes avec le passage sporadiques de quelques motos et taxis.
« Je leur ai demandé de se calmer et qu’une réponse provenant d’Abidjan leur sera donné incessamment », a fait savoir le secrétaire général de la préfecture, Bakayoko Mamadou.
Joint au téléphone par l’AIP, celui-ci a fait savoir qu’il n’était pas en mesure de révéler le contenu de l’entretien avec les gardes pénitentiaire à son bureau.
Aux environs de 13 h, des hommes de la garde pénitentiaire, en treillis et cagoulés, ont dressé des barricades, empêchant les motos et les véhicules de circuler en tirant en l’air, souligne-t-on.
(AIP)
zaar/kp
Les gardes pénitentiaires, auteurs de ces tirs qui ont plongé la population dans la peur, ont levé toutes les barricades aux différents points névralgiques de la ville, notamment le pont de Bouaflé débouchant sur la zone nord du pays. Par contre, les rues semblent désertes avec le passage sporadiques de quelques motos et taxis.
« Je leur ai demandé de se calmer et qu’une réponse provenant d’Abidjan leur sera donné incessamment », a fait savoir le secrétaire général de la préfecture, Bakayoko Mamadou.
Joint au téléphone par l’AIP, celui-ci a fait savoir qu’il n’était pas en mesure de révéler le contenu de l’entretien avec les gardes pénitentiaire à son bureau.
Aux environs de 13 h, des hommes de la garde pénitentiaire, en treillis et cagoulés, ont dressé des barricades, empêchant les motos et les véhicules de circuler en tirant en l’air, souligne-t-on.
(AIP)
zaar/kp