Un deuxième militaire ivoirien a succombé à ses blessures dans des tirs mardi à Yamoussoukro, capitale politique de la Côte d’Ivoire, et quatre autres ont été blessés, lors d’un mouvement d’humeur des soldats et gendarmes, selon un bilan du médecin de l’Ecole des forces armées de Zambakro, à la presse.
Ce militaire a été blessé par balles lors des échanges de tirs, à la sortie de Yamoussoukro, au corridor de Sinfra (centre ouest), ont rapporté des soldats.
La première victime a été retrouvée "abattue" sur le trottoir, en face du camp de la Garde républicaine à Yamoussoukro, a constaté un journaliste de ALERTE INFO.
Des militaires et gendarmes ivoiriens ont lancé mardi par des tirs sporadiques, un nouveau mouvement de protestation qui a touché quelques villes dont Daloa (Centre-ouest), Man (Ouest), Yamoussoukro, Dimbokro, Bouaké (Centre), Bondoukou (Est), et Bouaflé (Centre-ouest).
Le 6 janvier, Bouaké, la deuxième ville du pays, avait été le point de départ d’une mutinerie qui s’était propagée dans la plupart des grandes villes du pays, y compris Abidjan. Les soldats réclamaient le paiement de primes dont les premiers versements ont débuté lundi.
EFI
Ce militaire a été blessé par balles lors des échanges de tirs, à la sortie de Yamoussoukro, au corridor de Sinfra (centre ouest), ont rapporté des soldats.
La première victime a été retrouvée "abattue" sur le trottoir, en face du camp de la Garde républicaine à Yamoussoukro, a constaté un journaliste de ALERTE INFO.
Des militaires et gendarmes ivoiriens ont lancé mardi par des tirs sporadiques, un nouveau mouvement de protestation qui a touché quelques villes dont Daloa (Centre-ouest), Man (Ouest), Yamoussoukro, Dimbokro, Bouaké (Centre), Bondoukou (Est), et Bouaflé (Centre-ouest).
Le 6 janvier, Bouaké, la deuxième ville du pays, avait été le point de départ d’une mutinerie qui s’était propagée dans la plupart des grandes villes du pays, y compris Abidjan. Les soldats réclamaient le paiement de primes dont les premiers versements ont débuté lundi.
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