L’amphithéâtre du CRRAE-UEMOA à Abidjan a abrité le 18 janvier la cérémonie d’ouverture de la 17ème édition des Journées scientifiques du Programme PAC-CI dont l’objectif est de développer la recherche scientifique et médicale non seulement sur le VIH/sida mais aussi sur les autres maladies infectieuses.
La Coordonnatrice sud du Programme PAC-CI, le professeur Thérèse Yoman après avoir rappelé les bons résultats obtenus par ce programme depuis sa mise sur pied il y a 22 ans, a estimé qu’il « est temps de penser à l’avenir, à l’extension et à la pérennisation du programme ». Cela, selon la coordinatrice sud du programme, passe par la construction à Abidjan d’un centre de recherche et doit tenir compte de chercheurs formés ». Elle a dit la gratitude du PAC-CI à l’ensemble de ses partenaires grâce aux concours desquels le programme a obtenu les bons résultats salués par tous.
La ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou-Coffie a réaffirmé l’engagement du Gouvernement à travailler à « l’émergence » de la recherche en santé. « Le Gouvernement est disposé à booster la recherche en santé », a-t-elle dit. Sa collègue de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Ly Ramata a salué « l’excellent bilan » du PAC-CI, à mettre à l’actif d’une équipe « compétente ». Elle a félicité « la collaboration entre les équipes de recherche de Côte d’Ivoire et de France ». Elle a en outre admis, que « le temps est venu d’avoir un vrai centre de recherche en Côte d’Ivoire », avant d’annoncer la mise en place d’un Centre de recherche des maladies infectieuses et des pathologies.
L’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Georges Serre a réitéré l’engagement de son pays sur les questions liées au bien-être des populations. « Nous sommes prêts à continuer d’accompagner le PAC-CI », a-t-il dit.
Le programme « Pac-ci/site ANRS de Côte d’Ivoire » a été ouvert en 1995, puis formalisé en 1996 par convention entre le Ministère ivoirien de la Santé, le Ministère ivoirien de l’Economie et des Finances, le Ministère français de la Coopération et l’ANRS. Cette convention fondatrice fixait deux objectifs notamment la formation du personnel de santé à la recherche médicale sur le VIH/SIDA et la mise en œuvre de recherches médicales sur le VIH/SIDA dont les résultats devraient rapidement être utiles aux personnes affectées par la maladie.
Elisée B.
La Coordonnatrice sud du Programme PAC-CI, le professeur Thérèse Yoman après avoir rappelé les bons résultats obtenus par ce programme depuis sa mise sur pied il y a 22 ans, a estimé qu’il « est temps de penser à l’avenir, à l’extension et à la pérennisation du programme ». Cela, selon la coordinatrice sud du programme, passe par la construction à Abidjan d’un centre de recherche et doit tenir compte de chercheurs formés ». Elle a dit la gratitude du PAC-CI à l’ensemble de ses partenaires grâce aux concours desquels le programme a obtenu les bons résultats salués par tous.
La ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou-Coffie a réaffirmé l’engagement du Gouvernement à travailler à « l’émergence » de la recherche en santé. « Le Gouvernement est disposé à booster la recherche en santé », a-t-elle dit. Sa collègue de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Ly Ramata a salué « l’excellent bilan » du PAC-CI, à mettre à l’actif d’une équipe « compétente ». Elle a félicité « la collaboration entre les équipes de recherche de Côte d’Ivoire et de France ». Elle a en outre admis, que « le temps est venu d’avoir un vrai centre de recherche en Côte d’Ivoire », avant d’annoncer la mise en place d’un Centre de recherche des maladies infectieuses et des pathologies.
L’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Georges Serre a réitéré l’engagement de son pays sur les questions liées au bien-être des populations. « Nous sommes prêts à continuer d’accompagner le PAC-CI », a-t-il dit.
Le programme « Pac-ci/site ANRS de Côte d’Ivoire » a été ouvert en 1995, puis formalisé en 1996 par convention entre le Ministère ivoirien de la Santé, le Ministère ivoirien de l’Economie et des Finances, le Ministère français de la Coopération et l’ANRS. Cette convention fondatrice fixait deux objectifs notamment la formation du personnel de santé à la recherche médicale sur le VIH/SIDA et la mise en œuvre de recherches médicales sur le VIH/SIDA dont les résultats devraient rapidement être utiles aux personnes affectées par la maladie.
Elisée B.
