Abidjan – La République populaire de Chine a mis les petits plats dans les grands pour faire découvrir aux ivoiriens la richesse de son patrimoine culturel à travers le plus grand festival annuel chinois consacré aux festivités du nouvel an.
En visite officielle en Côte d'Ivoire, le vice-ministre chinois de la Culture, Ding Wei, en a lancé, mercredi, une somptueuse représentation, à Abidjan, en présence de son homologue ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama.
Lors de la cérémonie marquant ce mariage des cultures sino-ivoiriennes, le groupe artistique de la province chinoise de Gansu a fait découvrir le charme de la traditionnelle et moderne culture de la Chine éternelle, surprenant, à un certain moment, le public ivoirien par une parfaite interprétation de « Kouglizia » du classique rossignol, Bailly Spinto.
Envolées de violon de musique électronique, de chants folkloriques, de danses tibétaines à la joie, célébrée « au royaume des neiges », de musique, chants et danses classiques du quintuple millénaire patrimoine culturel chinois ont meublé la soirée qui se renouvelle, ce jeudi, sur le même site du Palais de la culture.
« La Côte d’Ivoire et la Chine sont les deux faces d’une même médaille », « Les chinois aspirent à une vie meilleure et souhaitent la même pour les autres peuples pour une meilleure coopération entre les peuples sur la terre », « le groupe artistique de Gansu » vient célébrer, à travers les fêtes du Printemps (ou nouvel an chinois), « un pays beau et amical », à travers le chœur de « deux peuples liés malgré la distance qui les sépare », s’était enthousiasmé l’ambassadeur, Tang Weibin, peu avant le début de la cérémonie.
« Au vu des acquis remarquables et inoubliables de 2016, nous (chinois) avons des raisons de nous sentir encore plus fiers de notre patrie », avait encore souligné le diplomate pour qui, 2016 a été aussi celle du rapprochement avec la Côte d’Ivoire.
Les gouvernements chinois et ivoirien ont paraphé, fin juin 2016, un accord de coopération en matière de culture en plusieurs points lors d’une visite du ministre Kouakou Bandaman en Chine. Le vice-ministre chinois a confirmé l’engagement de la Chine en quatre points : échanges et visites de haut niveau, organisation de grands événements, intensification de la collaboration entre opérateurs et acteurs culturels et le renforcement des capacités.
L’ensemble de ces projets devant démarrer, par la construction d’un Centre culturel chinois, le cinquième du genre en Afrique.
aaa/akn/kam
En visite officielle en Côte d'Ivoire, le vice-ministre chinois de la Culture, Ding Wei, en a lancé, mercredi, une somptueuse représentation, à Abidjan, en présence de son homologue ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama.
Lors de la cérémonie marquant ce mariage des cultures sino-ivoiriennes, le groupe artistique de la province chinoise de Gansu a fait découvrir le charme de la traditionnelle et moderne culture de la Chine éternelle, surprenant, à un certain moment, le public ivoirien par une parfaite interprétation de « Kouglizia » du classique rossignol, Bailly Spinto.
Envolées de violon de musique électronique, de chants folkloriques, de danses tibétaines à la joie, célébrée « au royaume des neiges », de musique, chants et danses classiques du quintuple millénaire patrimoine culturel chinois ont meublé la soirée qui se renouvelle, ce jeudi, sur le même site du Palais de la culture.
« La Côte d’Ivoire et la Chine sont les deux faces d’une même médaille », « Les chinois aspirent à une vie meilleure et souhaitent la même pour les autres peuples pour une meilleure coopération entre les peuples sur la terre », « le groupe artistique de Gansu » vient célébrer, à travers les fêtes du Printemps (ou nouvel an chinois), « un pays beau et amical », à travers le chœur de « deux peuples liés malgré la distance qui les sépare », s’était enthousiasmé l’ambassadeur, Tang Weibin, peu avant le début de la cérémonie.
« Au vu des acquis remarquables et inoubliables de 2016, nous (chinois) avons des raisons de nous sentir encore plus fiers de notre patrie », avait encore souligné le diplomate pour qui, 2016 a été aussi celle du rapprochement avec la Côte d’Ivoire.
Les gouvernements chinois et ivoirien ont paraphé, fin juin 2016, un accord de coopération en matière de culture en plusieurs points lors d’une visite du ministre Kouakou Bandaman en Chine. Le vice-ministre chinois a confirmé l’engagement de la Chine en quatre points : échanges et visites de haut niveau, organisation de grands événements, intensification de la collaboration entre opérateurs et acteurs culturels et le renforcement des capacités.
L’ensemble de ces projets devant démarrer, par la construction d’un Centre culturel chinois, le cinquième du genre en Afrique.
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