Man – Le calme semble revenu à Man après une journée agitée, mercredi, la sortie de gendarmes mécontents qui ont bloqué la circulation par des barricades à la hauteur de l’escadron mobile, a constaté sur place l'AIP.
La ville de Man baignait dans une ambiance de jour ordinaire, les barrages des voies ont été levés et la circulation est redevenue dense, les banques, les commerces et les stations service ont rouvert. Le grand marché et ses abords ainsi que la gare grouillent de monde et de véhicules avec son désordre habituel.
Des gendarmes, gardes pénitentiaires et autres agents des forces paramilitaires ont manifesté depuis mardi pour réclamer leur prise en compte dans les mesures consécutives à la mutinerie déclenchée le 6 janvier à Bouaké après l’accord du gouvernement de leur payer des primes de 12 millions de FCFA à chacun des soldats des ex-FAFN (Forces armées des Forces nouvelles) n'ayant pas été pris en compte pour la sécurisation du processus de normalisation après les accords de Ouagadougou.
A Danané et à Man, des gendarmes se sont joints au mouvement et ont manifesté bruillament en tirant des rafales d’armes automatiques dans les rues et en bloquant la circulation, sans toutefois faire de victime, rapporte-t-on.
gem/kp
La ville de Man baignait dans une ambiance de jour ordinaire, les barrages des voies ont été levés et la circulation est redevenue dense, les banques, les commerces et les stations service ont rouvert. Le grand marché et ses abords ainsi que la gare grouillent de monde et de véhicules avec son désordre habituel.
Des gendarmes, gardes pénitentiaires et autres agents des forces paramilitaires ont manifesté depuis mardi pour réclamer leur prise en compte dans les mesures consécutives à la mutinerie déclenchée le 6 janvier à Bouaké après l’accord du gouvernement de leur payer des primes de 12 millions de FCFA à chacun des soldats des ex-FAFN (Forces armées des Forces nouvelles) n'ayant pas été pris en compte pour la sécurisation du processus de normalisation après les accords de Ouagadougou.
A Danané et à Man, des gendarmes se sont joints au mouvement et ont manifesté bruillament en tirant des rafales d’armes automatiques dans les rues et en bloquant la circulation, sans toutefois faire de victime, rapporte-t-on.
gem/kp