Le Rassemblement des républicains (Rdr), parti du chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara, a rejeté vendredi, l’idée d’"un gouvernement d’union" proposée par le président du Front populaire ivoirien (FPI, opposition) Pascal Affi N’Guessan, pour "résoudre durablement" la grogne sociale et militaire.
"Il est bon pour M. Affi, de sortir enfin de son rêve de voir s’établir encore un gouvernement d’union ou de transition", a réagi M. N’Guessan.
Mercredi, le président du FPI a appelé à la "mise en place d’un gouvernement d’union nationale de transition", en vue de "conclure une trêve avec toutes les organisations politiques, militaires et syndicales, impliquées dans la crise".
Pascal Affi N’Guessan et les "militants" du FPI, "doivent accepter de jouer leur rôle d’opposant et laisser le Rhdp (Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix, coalition au pouvoir) gouverner", a répondu le porte-parole du Rdr.
Pour lui, M. Ouattara "a donné des instructions fermes pour l'apaisement social aussi bien au niveau des revendications des soldats que celles des fonctionnaires".
Après des discussions jeudi avec les fonctionnaires en grève depuis le 09 janvier, le gouvernement a marqué son accord sur certains points des revendications, notamment "le rétablissement du capital décès, les allocations familiales, la jouissance immédiate de la pension de réversion sans condition".
Le 6 janvier, Bouaké (Centre), avait été le point de départ d’une mutinerie qui s’était propagée dans la plupart des grandes villes du pays, y compris Abidjan. Les soldats réclamaient le paiement de primes dont les premiers versements ont débuté lundi.
Mercredi, M. Ouattara a "instruit les grands commandements de l’armée, la gendarmerie, la police, ainsi que le ministre chargé de le Défense, Alain Donwahi, à initier des rencontres avec toutes les composantes des Forces de défense et de sécurité, afin de recenser toutes leurs préoccupations", après un nouveau soulèvement militaire, parti mardi de Yamoussoukro, la capitale politique, avant de toucher d’autres villes.
EFI
"Il est bon pour M. Affi, de sortir enfin de son rêve de voir s’établir encore un gouvernement d’union ou de transition", a réagi M. N’Guessan.
Mercredi, le président du FPI a appelé à la "mise en place d’un gouvernement d’union nationale de transition", en vue de "conclure une trêve avec toutes les organisations politiques, militaires et syndicales, impliquées dans la crise".
Pascal Affi N’Guessan et les "militants" du FPI, "doivent accepter de jouer leur rôle d’opposant et laisser le Rhdp (Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix, coalition au pouvoir) gouverner", a répondu le porte-parole du Rdr.
Pour lui, M. Ouattara "a donné des instructions fermes pour l'apaisement social aussi bien au niveau des revendications des soldats que celles des fonctionnaires".
Après des discussions jeudi avec les fonctionnaires en grève depuis le 09 janvier, le gouvernement a marqué son accord sur certains points des revendications, notamment "le rétablissement du capital décès, les allocations familiales, la jouissance immédiate de la pension de réversion sans condition".
Le 6 janvier, Bouaké (Centre), avait été le point de départ d’une mutinerie qui s’était propagée dans la plupart des grandes villes du pays, y compris Abidjan. Les soldats réclamaient le paiement de primes dont les premiers versements ont débuté lundi.
Mercredi, M. Ouattara a "instruit les grands commandements de l’armée, la gendarmerie, la police, ainsi que le ministre chargé de le Défense, Alain Donwahi, à initier des rencontres avec toutes les composantes des Forces de défense et de sécurité, afin de recenser toutes leurs préoccupations", après un nouveau soulèvement militaire, parti mardi de Yamoussoukro, la capitale politique, avant de toucher d’autres villes.
EFI