Réagissant au point de presse du Président du Front Populaire Ivoirien du 18 janvier 2017 sur la situation sécuritaire et les remous sociaux, monsieur Joël N’Guessan, ci-devant porte-parole du RDR, a produit une déclaration dans laquelle il dit : « Il est bon pour Monsieur Affi N’GUESSAN de sortir enfin de son rêve de voir s’établir encore un Gouvernement d’Union ou de Transition. Son parti est dans l’opposition. Lui et leurs militants doivent accepter de jouer leur rôle d’opposant et laisser le RHDP gouverner. Les Ivoiriens nous jugerons tous aux résultats en 2020. »
Face à la situation chaotique dans laquelle la gestion de Monsieur Ouattara a conduit notre pays le FPI, parti de l’opposition, est dans son rôle d’exiger la fin de ce régime et la mise en place d’un gouvernement d’union nationale et de transition impliquant toutes les forces vives de la nation pour sauver la Côte d’Ivoire.
En effet, la grogne dans les casernes militaires et les mouvements de grève des fonctionnaires ivoiriens ne sont que la résultante des actes de mauvaise gouvernance d’un régime autocratique coupé des réalités quotidiennes des Ivoiriens. Nous assistons à l’expression du ras-le-bol des citoyens ivoiriens face à un gouvernement qui les met constamment à l’épreuve.
Par ailleurs, six années après sa prise du pouvoir, le Président Ouattara continue de martyriser les Ivoiriens avec sa justice à double vitesse qui maintient en prison, souvent sans jugement, de nombreux Ivoiriens. La chasse aux sorcières menée par son régime contraint des milliers d’Ivoiriens à l’exil dans des conditions inhumaines. Elle prive de nombreux cadres de l’opposition d’emploi et gèle injustement leurs avoirs. La mauvaise gestion de l’économie ivoirienne est à l’origine des augmentations injustifiées du prix de l’électricité et de celui des denrées de première nécessité.
Devant un tel tableau, Il est du devoir des Ivoiriens de réagir et de mettre fin aux agissements d’un gouvernement qui a montré son incapacité à régler les graves problèmes auxquels le pays est confronté, à assurer la sécurité des personnes et des biens, à instaurer une paix durable dans le pays, à réaliser la réconciliation des Ivoiriens. Le FPI ne peut assister sans réagir à la désintégration programmée de la Côte d’Ivoire. Il ne saurait non plus tolérer que le régime oppose les Ivoiriens les uns aux autres pour compromettre toute dynamique d’unité nationale, porteuse de progrès.
C’est pourquoi, le Front Populaire Ivoirien :
♣ Exprime sa solidarité à tous les travailleurs en lutte pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail ;
♣ Demande au Chef de l’Etat de tirer les conséquences de son incapacité à apporter la paix et la quiétude aux Ivoiriens ;
♣ Réitère son appel à tous les citoyens Ivoiriens et aux amis de la Côte d’Ivoire à s’engager résolument et de façon pacifique dans la voie du changement maintenant.
Fait à Abidjan, le 23 janvier 2017
La Secrétaire générale, Porte-parole du FPI
Agnès Monnet
NB: le titre est de la rédaction
Face à la situation chaotique dans laquelle la gestion de Monsieur Ouattara a conduit notre pays le FPI, parti de l’opposition, est dans son rôle d’exiger la fin de ce régime et la mise en place d’un gouvernement d’union nationale et de transition impliquant toutes les forces vives de la nation pour sauver la Côte d’Ivoire.
En effet, la grogne dans les casernes militaires et les mouvements de grève des fonctionnaires ivoiriens ne sont que la résultante des actes de mauvaise gouvernance d’un régime autocratique coupé des réalités quotidiennes des Ivoiriens. Nous assistons à l’expression du ras-le-bol des citoyens ivoiriens face à un gouvernement qui les met constamment à l’épreuve.
Par ailleurs, six années après sa prise du pouvoir, le Président Ouattara continue de martyriser les Ivoiriens avec sa justice à double vitesse qui maintient en prison, souvent sans jugement, de nombreux Ivoiriens. La chasse aux sorcières menée par son régime contraint des milliers d’Ivoiriens à l’exil dans des conditions inhumaines. Elle prive de nombreux cadres de l’opposition d’emploi et gèle injustement leurs avoirs. La mauvaise gestion de l’économie ivoirienne est à l’origine des augmentations injustifiées du prix de l’électricité et de celui des denrées de première nécessité.
Devant un tel tableau, Il est du devoir des Ivoiriens de réagir et de mettre fin aux agissements d’un gouvernement qui a montré son incapacité à régler les graves problèmes auxquels le pays est confronté, à assurer la sécurité des personnes et des biens, à instaurer une paix durable dans le pays, à réaliser la réconciliation des Ivoiriens. Le FPI ne peut assister sans réagir à la désintégration programmée de la Côte d’Ivoire. Il ne saurait non plus tolérer que le régime oppose les Ivoiriens les uns aux autres pour compromettre toute dynamique d’unité nationale, porteuse de progrès.
C’est pourquoi, le Front Populaire Ivoirien :
♣ Exprime sa solidarité à tous les travailleurs en lutte pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail ;
♣ Demande au Chef de l’Etat de tirer les conséquences de son incapacité à apporter la paix et la quiétude aux Ivoiriens ;
♣ Réitère son appel à tous les citoyens Ivoiriens et aux amis de la Côte d’Ivoire à s’engager résolument et de façon pacifique dans la voie du changement maintenant.
Fait à Abidjan, le 23 janvier 2017
La Secrétaire générale, Porte-parole du FPI
Agnès Monnet
NB: le titre est de la rédaction