Bouaké - Les populations, autorités administratives et politiques ainsi que les leadeurs religieux ont invité, mercredi, les hommes en armes à éviter de ternir davantage l’image de la ville de Bouaké, à travers des mutineries, afin de favoriser son repositionnement.
Le 5e vice-président du Conseil régional, Djê Norbert, le préfet de la région de Gbêkê, Aka Konin, et l’imam Idriss Sidibé, au nom de l’imam central de la grande mosquée, tout comme certains habitants, ont lancé cet appel, à l’occasion de la cérémonie de pardon initiée par les mutins des événements du 5 et 6 janvier.
"Vos parents vous pardonnent et demandent que cela ne se répète plus jamais car Bouaké a trop souffert et ne continuera pas dans ce sens", a indiqué le 5e vice-président du Conseil régional, Djê Norbert, qui s’adressaient aux militaires au nom des populations. Il leur a conseillé de privilégier le dialogue comme moyen de revendication.
Le préfet Aka Konin a fait savoir aux militaires qu’ils constituent "le socle de la paix", préalable au développement. Il les a, par conséquent, invités à contribuer à l’essor de Bouaké qui a perdu "tout son privilège" en raison des différentes crises.
"On ne souhaiterait plus jamais qu’il y ait un mercredi noir, un vendredi noir. Bouaké a souffert. La ville doit être l’exemple dans la stabilité, dans la cohésion", a lancé, pour sa part l’imam Idriss Sidibé.
Le mouvement de revendications enclenché par un groupe de militaires, les 5 et 6 janvier avait paralysé la capitale régionale de Gbèkè et d’autres villes du pays. Cette mutinerie qui a été marquée par l’usage d’armes à feu dans les rues, a engendré un climat de psychose au sein des populations.
L’on note que, depuis la sortie de crise, Bouaké, épicentre de l’ex-rébellion, a connu plusieurs troubles notamment, les événements du 22 juillet 2016 liés à la majoration des factures d’électricité et la manifestation des forces de l’ordre de novembre
nbf
Le 5e vice-président du Conseil régional, Djê Norbert, le préfet de la région de Gbêkê, Aka Konin, et l’imam Idriss Sidibé, au nom de l’imam central de la grande mosquée, tout comme certains habitants, ont lancé cet appel, à l’occasion de la cérémonie de pardon initiée par les mutins des événements du 5 et 6 janvier.
"Vos parents vous pardonnent et demandent que cela ne se répète plus jamais car Bouaké a trop souffert et ne continuera pas dans ce sens", a indiqué le 5e vice-président du Conseil régional, Djê Norbert, qui s’adressaient aux militaires au nom des populations. Il leur a conseillé de privilégier le dialogue comme moyen de revendication.
Le préfet Aka Konin a fait savoir aux militaires qu’ils constituent "le socle de la paix", préalable au développement. Il les a, par conséquent, invités à contribuer à l’essor de Bouaké qui a perdu "tout son privilège" en raison des différentes crises.
"On ne souhaiterait plus jamais qu’il y ait un mercredi noir, un vendredi noir. Bouaké a souffert. La ville doit être l’exemple dans la stabilité, dans la cohésion", a lancé, pour sa part l’imam Idriss Sidibé.
Le mouvement de revendications enclenché par un groupe de militaires, les 5 et 6 janvier avait paralysé la capitale régionale de Gbèkè et d’autres villes du pays. Cette mutinerie qui a été marquée par l’usage d’armes à feu dans les rues, a engendré un climat de psychose au sein des populations.
L’on note que, depuis la sortie de crise, Bouaké, épicentre de l’ex-rébellion, a connu plusieurs troubles notamment, les événements du 22 juillet 2016 liés à la majoration des factures d’électricité et la manifestation des forces de l’ordre de novembre
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