Des jeunes ont cassé samedi, une urne et déchiré des documents dans un bureau de vote à Divo (Centre-ouest ivoirien), lors de la reprise des législatives dans cette localité, après l'invalidation des résultats, a appris ALERTE INFO auprès des témoins.
Ces incidents sont intervenus vers 10h00 (GMT et locales), au groupe scolaire plateau, ont-ils rapporté.
Les bureaux de vote de Divo ont ouvert samedi à 8H00 (GMT et locales), pour la reprise du vote, après l’invalidation de l’élection de deux candidats dans les circonscriptions de Divo et Kouibly (ouest ivoirien), où le scrutin est également repris.
Famoussa Coulibaly, candidat de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (Udpci, proche du pouvoir), dont l’élection a été invalidée, a appelé la population à "ne pas céder à la provocation", après son vote samedi.
Des incidents ont eu lieu le 01 janvier à Divo (plus de 180 km d’Abidjan), après l’invalidation de l’élection de M. Coulibaly, par le Conseil constitutionnel.
Une heure après l’annonce de la reprise du scrutin dans cette localité, des manifestants ont brûlé des pneus et saccagé des biens dont ceux du maire de la commune, Amédée Kouakou.
EFI
Ces incidents sont intervenus vers 10h00 (GMT et locales), au groupe scolaire plateau, ont-ils rapporté.
Les bureaux de vote de Divo ont ouvert samedi à 8H00 (GMT et locales), pour la reprise du vote, après l’invalidation de l’élection de deux candidats dans les circonscriptions de Divo et Kouibly (ouest ivoirien), où le scrutin est également repris.
Famoussa Coulibaly, candidat de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (Udpci, proche du pouvoir), dont l’élection a été invalidée, a appelé la population à "ne pas céder à la provocation", après son vote samedi.
Des incidents ont eu lieu le 01 janvier à Divo (plus de 180 km d’Abidjan), après l’invalidation de l’élection de M. Coulibaly, par le Conseil constitutionnel.
Une heure après l’annonce de la reprise du scrutin dans cette localité, des manifestants ont brûlé des pneus et saccagé des biens dont ceux du maire de la commune, Amédée Kouakou.
EFI