Le président du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Pascal Affi N’Guessan a soutenu samedi que, "le retour des chefs de guerre, à la tête des unités de l’armée, est le signe que le gouvernement prépare la guerre contre son peuple", lors d’une cérémonie.
"Le retour au premier plan, des chefs de guerre de la rébellion armée de 2002, à la tête des principales unités de l’armée, est le signe que le gouvernement prépare la guerre contre son peuple, en se barricadant avec son clan", a dénoncé M. Affi, lors d’une cérémonie de présentation de vœux, au siège du FPI à Cocody (Est d'Abidjan).
Jeudi, le président ivoirien Alassane Ouattara a procédé a de nombreuses nominations à la tête des différentes unités de l’armée, en promouvant la plupart des ex-chefs de guerre de l’ancienne rébellion des Forces nouvelles (FN), jusque là confinés à des rôles secondaires, après des mutineries.
Pour le président du FPI, principal parti de l’opposition, "un gouvernement des vainqueurs, ne peut servir que les vainqueurs au détriment de l’unité nationale et l’intérêt général".
Il a réitéré son appel à la "mise en place d’un gouvernement d’union nationale et de transition, impliquant toutes les forces vives de la nation", pour "résoudre durablement la grogne sociale et militaire".
EFI
"Le retour au premier plan, des chefs de guerre de la rébellion armée de 2002, à la tête des principales unités de l’armée, est le signe que le gouvernement prépare la guerre contre son peuple, en se barricadant avec son clan", a dénoncé M. Affi, lors d’une cérémonie de présentation de vœux, au siège du FPI à Cocody (Est d'Abidjan).
Jeudi, le président ivoirien Alassane Ouattara a procédé a de nombreuses nominations à la tête des différentes unités de l’armée, en promouvant la plupart des ex-chefs de guerre de l’ancienne rébellion des Forces nouvelles (FN), jusque là confinés à des rôles secondaires, après des mutineries.
Pour le président du FPI, principal parti de l’opposition, "un gouvernement des vainqueurs, ne peut servir que les vainqueurs au détriment de l’unité nationale et l’intérêt général".
Il a réitéré son appel à la "mise en place d’un gouvernement d’union nationale et de transition, impliquant toutes les forces vives de la nation", pour "résoudre durablement la grogne sociale et militaire".
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