Bouaké (Côte d’Ivoire) - Les populations de Bouaké (Centre-Nord) ont témoigné, samedi, lors d’une cérémonie placée sous le sceau de ‘’la paix retrouvée’’, leur soutien ‘’indéfectible’’ au chef de l’Etat Alassane Ouattara, suite à la grogne sociale menée depuis début janvier par les militaires et les fonctionnaires, a constaté APA sur place dans la 2è plus grande ville du pays.
‘’Chers parents, si nous sommes rassemblés ici ce matin en grand nombre c’est pour apporter notre compassion et notre soutien à son Excellence Alassane Ouattara, président de la République de Côte d’Ivoire’’ a déclaré dans son allocution l’honorable Bema Fofana, l’un des députés de Bouaké commune.
Vous n’ignorez pas, a-t-il ajouté, ‘’les turbulences qui ont secoué notre belle Côte d’Ivoire ces deux dernières semaines’’ notamment ‘’la révolte des militaires et la grève des fonctionnaires’’ qui ont occasionnées entre autres ‘’la fermeture des voies internationales, la détonation d’armes à feu en temps de paix, l’arrêt des cours dans les établissements scolaires, l’arrêt des activités économiques et le traumatisme des populations’’.
Pour l’honorable Bema Fofana, ces crises à répétition ‘’qui généralement naissent à Bouaké ou s’amplifient à Bouaké desservent cette cité’’. C’est pourquoi, au nom des populations de Bouaké il a vigoureusement condamné ‘’ces agissements qui ne nous honorent pas’’.
‘’Nous nous en désolidarisons et tenons pour seuls responsables leurs auteurs qui sont et restent identifiables. Nous nous engageons dorénavant à nous opposer par les moyens légaux à toute tentative de salissure de l’image de Bouaké’’, a-t-il conclu.
‘’Nous ne sommes pas contents du comportement de nos soldats qui nous ont traumatisé récemment pendant deux semaines et nous leur demandons à l’avenir de rester dans les casernes s’ils ont envie de manifester’’, ont respectivement lancé la porte-parole des femmes, Mme Yao Adjoua et celui des jeunes de Bouaké, Soumaila Sylla à l’endroit des ex-soldats mutinés. ‘’Papa Alassane Ouattara pardon ne laisse pas tomber Bouaké !’’, ont-ils ensuite plaidé.
Pour sa part le préfet de région, préfet du département de Bouaké, Konin Aka a rassuré les populations quand à la volonté du président Alassane Ouattara de poursuivre son œuvre de développement pour la Côte d’Ivoire en générale et pour la ville de Bouaké en particulier.
‘’Quand vous demandez au président de la République de ne pas vous laissez tomber c’est moi plutôt qui va demander aux populations de Bouaké de ne jamais laisser tomber le président de la République’’, a exhorté M. Aka, rappelant les efforts consentis par M. Ouattara lors de sa prise de pouvoir en 2011 ‘’dans un pays pratiquement en faillite’’ qu’il a réussi ‘’en quelques temps à repositionner’’ sur l’échiquier international.
Auparavant, le 2è adjoint au maire de Bouaké, Hamadou Bamba a félicité le président Ouattara pour sa vision de grand homme d’Etat qui lui a permis ‘’de privilégier le dialogue et le respect de la vie humaine dans la résolution de la récente mutinerie’’.
CK/ls
‘’Chers parents, si nous sommes rassemblés ici ce matin en grand nombre c’est pour apporter notre compassion et notre soutien à son Excellence Alassane Ouattara, président de la République de Côte d’Ivoire’’ a déclaré dans son allocution l’honorable Bema Fofana, l’un des députés de Bouaké commune.
Vous n’ignorez pas, a-t-il ajouté, ‘’les turbulences qui ont secoué notre belle Côte d’Ivoire ces deux dernières semaines’’ notamment ‘’la révolte des militaires et la grève des fonctionnaires’’ qui ont occasionnées entre autres ‘’la fermeture des voies internationales, la détonation d’armes à feu en temps de paix, l’arrêt des cours dans les établissements scolaires, l’arrêt des activités économiques et le traumatisme des populations’’.
Pour l’honorable Bema Fofana, ces crises à répétition ‘’qui généralement naissent à Bouaké ou s’amplifient à Bouaké desservent cette cité’’. C’est pourquoi, au nom des populations de Bouaké il a vigoureusement condamné ‘’ces agissements qui ne nous honorent pas’’.
‘’Nous nous en désolidarisons et tenons pour seuls responsables leurs auteurs qui sont et restent identifiables. Nous nous engageons dorénavant à nous opposer par les moyens légaux à toute tentative de salissure de l’image de Bouaké’’, a-t-il conclu.
‘’Nous ne sommes pas contents du comportement de nos soldats qui nous ont traumatisé récemment pendant deux semaines et nous leur demandons à l’avenir de rester dans les casernes s’ils ont envie de manifester’’, ont respectivement lancé la porte-parole des femmes, Mme Yao Adjoua et celui des jeunes de Bouaké, Soumaila Sylla à l’endroit des ex-soldats mutinés. ‘’Papa Alassane Ouattara pardon ne laisse pas tomber Bouaké !’’, ont-ils ensuite plaidé.
Pour sa part le préfet de région, préfet du département de Bouaké, Konin Aka a rassuré les populations quand à la volonté du président Alassane Ouattara de poursuivre son œuvre de développement pour la Côte d’Ivoire en générale et pour la ville de Bouaké en particulier.
‘’Quand vous demandez au président de la République de ne pas vous laissez tomber c’est moi plutôt qui va demander aux populations de Bouaké de ne jamais laisser tomber le président de la République’’, a exhorté M. Aka, rappelant les efforts consentis par M. Ouattara lors de sa prise de pouvoir en 2011 ‘’dans un pays pratiquement en faillite’’ qu’il a réussi ‘’en quelques temps à repositionner’’ sur l’échiquier international.
Auparavant, le 2è adjoint au maire de Bouaké, Hamadou Bamba a félicité le président Ouattara pour sa vision de grand homme d’Etat qui lui a permis ‘’de privilégier le dialogue et le respect de la vie humaine dans la résolution de la récente mutinerie’’.
CK/ls